Le Front populaire ivoirien (FPI) est sur le terrain, depuis quelques jours, pour la remobilisation des militants. Le week-end dernier, la JFPI a tenu une assemblée générale, au siège du Congrès national pour la résistance (CNRD), à Cocody. Elle a été marquée, par les messages forts de Laurent Akoun, porte-parole du parti, et Justin Koua, secrétaire nation intérimaire de la jeunesse.
Le porte-parole du Front populaire ivoirien (FPI), Laurent Akoun, a déclaré samedi, à l’assemblée générale de la jeunesse du Front populaire ivoirien, au siège du CNRD à Cocody, que «pour l’Afrique, Laurent Gbagbo est une légende». Il entendait, ainsi, souligner les mérites du grand combattant qu’est Laurent Gbagbo. Le secrétaire général par intérim du FPI a soutenu que la lutte du leader Gbagbo transcende les frontières de la Côte d’Ivoire. Elle touche toute l’Afrique. «Laurent Gbagbo représente quelque chose pour l’avenir de l’Afrique», dira-t-il. Laurent Akoun a indiqué que les militants du Front populaire ivoirien doivent être fiers de cet homme. «Nous devons être fiers de ce compagnon, ce guide qui a éclairé la Côte d’Ivoire», a-t-il affirmé. Le secrétaire général du FPI a mentionné les qualités du grand visionnaire, qui a révolutionné le débat politique, par sa façon d’appréhender la chose
politique. «Souvenez-vous de la transition pacifique à la démocratie. Si aujourd’hui, on parle de programme de gouvernement, c’est à cause de Laurent Gbagbo. Il a toujours dit qu’un homme politique doit dire ce qu’il veut faire au peuple», a-t-il relevé.
Le porte-parole du FPI a exhorté les militants à reprendre la lutte pour faire honneur à Laurent Gbagbo : «Nous devons reprendre la lutte pour notre dignité et notre souveraineté». Akoun a demandé aux démocrates d’éviter la résignation, pour ne pas donner raisons aux ennemis de la démocratie. «Ne nous résignons pas. N’acceptons pas de baisser la tête devant quoique ce soit», a-t-il martelé. Il a expliqué qu’en 2000, le FPI a gagné le pouvoir, mais à pêché quelque peu. Mais, a- t-il insisté, le fait que son parti ait perdu le pouvoir ne doit pas être perçu comme une fatalité. Au contraire, ça doit être une émulation pour les combattants de la liberté. D’autant plus qu’aujourd’hui, nombreux sont les Ivoiriens qui aspirent à la liberté et à la démocratie.
Diomandé Mami, député d’Adjamé, a abondé dans le même sens, en soutenant que «La France avait un objectif à atteindre, mais Laurent Gbagbo avait un message à faire passer au monde entier. Ceux qui voulaient l’entendre, l’ont entendu». Il a avancé que le FPI a perdu une bataille, mais pas la guerre. Diomandé Mami a estimé que la continuité de la lutte est un devoir pour les militants du FPI. Le député a relevé que la guerre n’est pas dans la culture du FPI. «Nous avons été élevés à la sève de la transition pacifique à la démocratie», a-t-il indiqué. Aussi a-t-il engagé les jeunes et au delà tous les démocrates à se remettre au travail, pour le bonheur de la Côte d’Ivoire. «On a été secoués, mais fort heureusement, nous ne sommes pas couchés. Je vous encourage à vous remobiliser», à affirmé le député d’Adjamé.
César Ebrokié
Le porte-parole du Front populaire ivoirien (FPI), Laurent Akoun, a déclaré samedi, à l’assemblée générale de la jeunesse du Front populaire ivoirien, au siège du CNRD à Cocody, que «pour l’Afrique, Laurent Gbagbo est une légende». Il entendait, ainsi, souligner les mérites du grand combattant qu’est Laurent Gbagbo. Le secrétaire général par intérim du FPI a soutenu que la lutte du leader Gbagbo transcende les frontières de la Côte d’Ivoire. Elle touche toute l’Afrique. «Laurent Gbagbo représente quelque chose pour l’avenir de l’Afrique», dira-t-il. Laurent Akoun a indiqué que les militants du Front populaire ivoirien doivent être fiers de cet homme. «Nous devons être fiers de ce compagnon, ce guide qui a éclairé la Côte d’Ivoire», a-t-il affirmé. Le secrétaire général du FPI a mentionné les qualités du grand visionnaire, qui a révolutionné le débat politique, par sa façon d’appréhender la chose
politique. «Souvenez-vous de la transition pacifique à la démocratie. Si aujourd’hui, on parle de programme de gouvernement, c’est à cause de Laurent Gbagbo. Il a toujours dit qu’un homme politique doit dire ce qu’il veut faire au peuple», a-t-il relevé.
Le porte-parole du FPI a exhorté les militants à reprendre la lutte pour faire honneur à Laurent Gbagbo : «Nous devons reprendre la lutte pour notre dignité et notre souveraineté». Akoun a demandé aux démocrates d’éviter la résignation, pour ne pas donner raisons aux ennemis de la démocratie. «Ne nous résignons pas. N’acceptons pas de baisser la tête devant quoique ce soit», a-t-il martelé. Il a expliqué qu’en 2000, le FPI a gagné le pouvoir, mais à pêché quelque peu. Mais, a- t-il insisté, le fait que son parti ait perdu le pouvoir ne doit pas être perçu comme une fatalité. Au contraire, ça doit être une émulation pour les combattants de la liberté. D’autant plus qu’aujourd’hui, nombreux sont les Ivoiriens qui aspirent à la liberté et à la démocratie.
Diomandé Mami, député d’Adjamé, a abondé dans le même sens, en soutenant que «La France avait un objectif à atteindre, mais Laurent Gbagbo avait un message à faire passer au monde entier. Ceux qui voulaient l’entendre, l’ont entendu». Il a avancé que le FPI a perdu une bataille, mais pas la guerre. Diomandé Mami a estimé que la continuité de la lutte est un devoir pour les militants du FPI. Le député a relevé que la guerre n’est pas dans la culture du FPI. «Nous avons été élevés à la sève de la transition pacifique à la démocratie», a-t-il indiqué. Aussi a-t-il engagé les jeunes et au delà tous les démocrates à se remettre au travail, pour le bonheur de la Côte d’Ivoire. «On a été secoués, mais fort heureusement, nous ne sommes pas couchés. Je vous encourage à vous remobiliser», à affirmé le député d’Adjamé.
César Ebrokié
