La direction de l’ex-parti au pouvoir a eu une séance de travail hier avec les ambassadeurs des pays de l’union européenne.
Le front populaire ivoirien (FPI) conduit par son président intérimaire, le député Sylvain Miaka Ouretto, a rencontré hier les ambassadeurs des pays de l’Union européenne (UE). La séance de travail qui a duré environ deux heures d’horloge dans les locaux de la représentation de l’UE à Abidjan-plateau a tourné autour de la situation sociopolitique de la Côte d’ivoire, plus de quatre mois après l’avènement d’Alassane Dramane Ouattara au pouvoir. Le contenu proprement dit des échanges n’a pas été révélé à la presse. Toutefois, le secrétaire général par intérim du FPI, Laurent Akoun a indiqué que les deux parties ont fait le tour des questions liées à la sécurité, à la réconciliation et aux élections législatives. Il a ajouté que les préoccupations de son parti sur ces sujets majeurs de la vie nationale ont été consignées dans un document écrit qui a été remis aux diplomates. La direction du FPI qui estime que la sécurité et la réconciliation doivent précéder les élections a entrepris des démarches auprès des chancelleries, des institutions nationales et internationales pour faire connaître ses attentes. Ce contact avec les ambassadeurs de l’UE a vu la participation des représentants de plusieurs pays dont la France, le Royaume unie, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, la Belgique ainsi que le chargé d’affaire de l’UE. Outre Miaka Ouretto et Laurent Akoun, la délégation du Fpi comprenait les ministres Alphonse Douati, Amani N’Guessan, Sébastien Dano Djédjé et le député Marie Odette Lorougnon, tous membres du secrétariat général du parti.
Juste après l’UE, le calendrier du FPI prévoit une rencontre avec l’ambassadeur de la Russie en Côte d’ivoire.
Jean Khalil Sella
Le front populaire ivoirien (FPI) conduit par son président intérimaire, le député Sylvain Miaka Ouretto, a rencontré hier les ambassadeurs des pays de l’Union européenne (UE). La séance de travail qui a duré environ deux heures d’horloge dans les locaux de la représentation de l’UE à Abidjan-plateau a tourné autour de la situation sociopolitique de la Côte d’ivoire, plus de quatre mois après l’avènement d’Alassane Dramane Ouattara au pouvoir. Le contenu proprement dit des échanges n’a pas été révélé à la presse. Toutefois, le secrétaire général par intérim du FPI, Laurent Akoun a indiqué que les deux parties ont fait le tour des questions liées à la sécurité, à la réconciliation et aux élections législatives. Il a ajouté que les préoccupations de son parti sur ces sujets majeurs de la vie nationale ont été consignées dans un document écrit qui a été remis aux diplomates. La direction du FPI qui estime que la sécurité et la réconciliation doivent précéder les élections a entrepris des démarches auprès des chancelleries, des institutions nationales et internationales pour faire connaître ses attentes. Ce contact avec les ambassadeurs de l’UE a vu la participation des représentants de plusieurs pays dont la France, le Royaume unie, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, la Belgique ainsi que le chargé d’affaire de l’UE. Outre Miaka Ouretto et Laurent Akoun, la délégation du Fpi comprenait les ministres Alphonse Douati, Amani N’Guessan, Sébastien Dano Djédjé et le député Marie Odette Lorougnon, tous membres du secrétariat général du parti.
Juste après l’UE, le calendrier du FPI prévoit une rencontre avec l’ambassadeur de la Russie en Côte d’ivoire.
Jean Khalil Sella