Quelle est la position du Fpi sur sa participation aux législatives ?
Toutes les institutions qui ont à charge l’organisation des élections doivent quand-même se consulter de manière consensuelle. On doit s’asseoir pour discuter et puis se mettre d’accord sur les règles du jeu. Il se trouve qu’à ce jour, nous nous évertuons à obtenir des audiences pour qu’on discute de ces questions ; et toutes les portes nous sont fermées. Dans ces conditions, en fixant la date des élections en conseil des ministres, cela voudrait dire que les nouvelles autorités ne veulent pas que le Fpi participe aux élections. Nous allons réfléchir à cela et en tirer les conséquences. Parce qu’il n’est pas question, pour nous, à des élections où les dés sont pipés d’avance. Alors que nous connaissons notre politique dans le pays.
Qu’est-ce qui fait dire que les dés sont faits d’avance ?
Nous avons foi que toutes les autorités de ce pays, tout comme nous, comprennent que la démocratie est un passage obligé. Or, la démocratie suppose la présence d’un pouvoir mais aussi un contre-pouvoir. Elle suppose aussi l’existence d’un environnement équitable, consensuel dans laquelle les acteurs politiques se livrent à des confrontations justes. Même si les autorités ont le souci d’avoir une majorité écrasante au parlement, il faut qu’il existe une opposition. Or, ce que nous constatons, c’est qu’on a le sentiment qu’on veut écarter carrément l’opposition, particulièrement le Fpi, de ces compétitions. Mais nous allons en tirer les conséquences.
Propos recueillis sur Onuci-Fm par B.I.
Toutes les institutions qui ont à charge l’organisation des élections doivent quand-même se consulter de manière consensuelle. On doit s’asseoir pour discuter et puis se mettre d’accord sur les règles du jeu. Il se trouve qu’à ce jour, nous nous évertuons à obtenir des audiences pour qu’on discute de ces questions ; et toutes les portes nous sont fermées. Dans ces conditions, en fixant la date des élections en conseil des ministres, cela voudrait dire que les nouvelles autorités ne veulent pas que le Fpi participe aux élections. Nous allons réfléchir à cela et en tirer les conséquences. Parce qu’il n’est pas question, pour nous, à des élections où les dés sont pipés d’avance. Alors que nous connaissons notre politique dans le pays.
Qu’est-ce qui fait dire que les dés sont faits d’avance ?
Nous avons foi que toutes les autorités de ce pays, tout comme nous, comprennent que la démocratie est un passage obligé. Or, la démocratie suppose la présence d’un pouvoir mais aussi un contre-pouvoir. Elle suppose aussi l’existence d’un environnement équitable, consensuel dans laquelle les acteurs politiques se livrent à des confrontations justes. Même si les autorités ont le souci d’avoir une majorité écrasante au parlement, il faut qu’il existe une opposition. Or, ce que nous constatons, c’est qu’on a le sentiment qu’on veut écarter carrément l’opposition, particulièrement le Fpi, de ces compétitions. Mais nous allons en tirer les conséquences.
Propos recueillis sur Onuci-Fm par B.I.