Le ministre des Eaux et Forêts, Nabo Clément, a visité le samedi 10 Septembre 2011, des unités de transformation du bois sises à la zone industrielle d’Adzopé en présence du préfet Boni Kouadio.
‘’Nous sommes venus voir si le fonctionnement des usines (les scieries), est conforme à la règlementation en vigueur. A la zone industrielle de Yopougon, il y a des gens qui font du faux et qui refusent de se conformer à la règlementation. Celui qui fait du faux, aura en face de lui, la force et la loi’’, a averti le ministre des Eaux et Forêts. Face aux difficultés que rencontrent les industriels du bois dans l’exercice de leurs fonctions, Nabo Clément a indiqué que le gouvernement ne laissera pas mourir ces usines qui sont, selon ses propres termes, impressionnantes, surtout en termes de création d’emplois pour les jeunes. ‘’Nous connaissons vos problèmes et nous savons que vous êtes confrontés à un problème d’approvisionnement et de transformation du bois. Le sciage clandestin sera combattu et nous ferons un effort pour limiter ce phénomène qui détruit la forêt ivoirienne. Avant la fin de l’année, le ministère des Eaux et Forêts organisera les états généraux de la forêt. Nous sommes certains que nous allons trouver des solutions qui arrangeront tout le monde. Nous allons leur donner du bois et à la longue, nous allons demander au gouvernement de suspendre l’exportation du bois en grume pour donner du travail à nos jeunes pour que nous ayons de la matière de sorte que ces usines qui n’ont pas fermé pendant la crise, puissent avoir du bois’’, a rassuré le ministre des Eaux et Forêts. Quant aux industriels, ils ont souhaité que le ministre Nabo Clément prenne une décision politique pour mettre fin aux actions des exploitants clandestins. Les opérateurs du bois qui entendent exporter « le produit fini » au-delà de 2013, ont demandé à l’émissaire du gouvernement ivoirien de prendre en compte l’Accord de partenariat de l’Union Européenne qui sera mis en vigueur à partir de 2013. ‘’Sans quoi, nous ne pourrons plus exporter du bois en direction de l’Europe’’, ont-ils plaidé. En plus des exploitants véreux, les feux de brousse et l’exploitation du bois de chauffe font également partie des causes de la déforestation. Nabo Clément qui a visité le cantonnement des agents des Eaux et Forêts, a pu apprécier la vétusté des locaux et un manque d’équipements de ses hommes.
Dosso Villard
‘’Nous sommes venus voir si le fonctionnement des usines (les scieries), est conforme à la règlementation en vigueur. A la zone industrielle de Yopougon, il y a des gens qui font du faux et qui refusent de se conformer à la règlementation. Celui qui fait du faux, aura en face de lui, la force et la loi’’, a averti le ministre des Eaux et Forêts. Face aux difficultés que rencontrent les industriels du bois dans l’exercice de leurs fonctions, Nabo Clément a indiqué que le gouvernement ne laissera pas mourir ces usines qui sont, selon ses propres termes, impressionnantes, surtout en termes de création d’emplois pour les jeunes. ‘’Nous connaissons vos problèmes et nous savons que vous êtes confrontés à un problème d’approvisionnement et de transformation du bois. Le sciage clandestin sera combattu et nous ferons un effort pour limiter ce phénomène qui détruit la forêt ivoirienne. Avant la fin de l’année, le ministère des Eaux et Forêts organisera les états généraux de la forêt. Nous sommes certains que nous allons trouver des solutions qui arrangeront tout le monde. Nous allons leur donner du bois et à la longue, nous allons demander au gouvernement de suspendre l’exportation du bois en grume pour donner du travail à nos jeunes pour que nous ayons de la matière de sorte que ces usines qui n’ont pas fermé pendant la crise, puissent avoir du bois’’, a rassuré le ministre des Eaux et Forêts. Quant aux industriels, ils ont souhaité que le ministre Nabo Clément prenne une décision politique pour mettre fin aux actions des exploitants clandestins. Les opérateurs du bois qui entendent exporter « le produit fini » au-delà de 2013, ont demandé à l’émissaire du gouvernement ivoirien de prendre en compte l’Accord de partenariat de l’Union Européenne qui sera mis en vigueur à partir de 2013. ‘’Sans quoi, nous ne pourrons plus exporter du bois en direction de l’Europe’’, ont-ils plaidé. En plus des exploitants véreux, les feux de brousse et l’exploitation du bois de chauffe font également partie des causes de la déforestation. Nabo Clément qui a visité le cantonnement des agents des Eaux et Forêts, a pu apprécier la vétusté des locaux et un manque d’équipements de ses hommes.
Dosso Villard
