La Ligue des champions 2011-2012 s’est ouvert mardi avec le tenant du titre, le FC Barcelone de Leo Messi, en grand candidat au maintien de son hégémonie, qu'essaieront de troubler au premier chef le Real Madrid de Ronaldo et le Manchester United de Rooney.
L'Olympique de Marseille ouvrir le bal côté Français mardi au Pirée , avant Lille et Lyon mercredi.Totalement plombé en championnat de France à la sortie d'un été calamiteux sur le plan des résultats, Marseille espère enfin retrouver de l'air et démarrer sportivement sa saison en Ligue des champions, mardi devant l'Olympiakos. Le Barça version "Pep Team", depuis que Guardiola en a repris les rênes en 2008, écrase tout sur son passage. Il a déjà récolté 12 trophées. Son âge d'or connaîtra-t-il un nouveau millésime? Il a d'ores et déjà envoyé un signe en s'emparant des deux supercoupes 2011, celle d'Espagne face au Real Madrid, celle d'Europe contre Porto. Messi fonce vers un troisième Ballon d'Or d'affilée, le Chilien Sanchez, avant sa blessure pour deux mois dimanche, et le Catalan Fabregas se sont bien intégrés, et Thiago Alcantara est prêt à éclore au haut niveau. Les enjeux pour le Barça? Remporter une 5e C1 et ainsi rejoindre Liverpool sur le podium du nombre de titres derrière le Real Madrid (9) et l'AC Milan (7), et devenir la première équipe à réussir le doublé depuis l'AC Milan d'Arrigo Sacchi (1989-1990). Guardiola, qui ne compte pas s'éterniser en Catalogne, peut aussi égaler le record du mythique entraîneur des Reds Bob Paisley en remportant sa troisième coupe aux grandes oreilles. Depuis 2006, le Barça n'a été éliminé que par des clubs anglais (Liverpool en 8e en 2007, Manchester United en demie en 2008) et par un club entraîné par Jose Mourinho, l'Inter Milan en 2010 (en demi-finale). Cette fois, le duel à distance Real-Barça, après la séquence houleuse des quatre clasicos printaniers, pourrait revenir sur la scène européenne. Car Mourinho l'a dit: chacune de ses équipes tourne à plein régime à partir de la deuxième année. On y est. Et le Real semble mieux armé cette saison, avec un Benzema en net progrès pour épauler Cristiano Ronaldo, et un recrutement peu clinquant mais malin (Coentrao, Hamit Altintop, Sahin, Callejon).
La saison dernière, en atteignant le dernier carré, le "Special One" est parvenu à briser la malédiction des 8e de finale, sur lesquels le Real avait buté pendant six ans. Après avoir eu la tête du directeur sportif Jorge Valdano, il a désormais les coudées franches. Et une pression démentielle: celle de ramener à Madrid la "Decima", la 10e C1. Sous peine d'impatienter sohn président Florentino Perez.
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L'Olympique de Marseille ouvrir le bal côté Français mardi au Pirée , avant Lille et Lyon mercredi.Totalement plombé en championnat de France à la sortie d'un été calamiteux sur le plan des résultats, Marseille espère enfin retrouver de l'air et démarrer sportivement sa saison en Ligue des champions, mardi devant l'Olympiakos. Le Barça version "Pep Team", depuis que Guardiola en a repris les rênes en 2008, écrase tout sur son passage. Il a déjà récolté 12 trophées. Son âge d'or connaîtra-t-il un nouveau millésime? Il a d'ores et déjà envoyé un signe en s'emparant des deux supercoupes 2011, celle d'Espagne face au Real Madrid, celle d'Europe contre Porto. Messi fonce vers un troisième Ballon d'Or d'affilée, le Chilien Sanchez, avant sa blessure pour deux mois dimanche, et le Catalan Fabregas se sont bien intégrés, et Thiago Alcantara est prêt à éclore au haut niveau. Les enjeux pour le Barça? Remporter une 5e C1 et ainsi rejoindre Liverpool sur le podium du nombre de titres derrière le Real Madrid (9) et l'AC Milan (7), et devenir la première équipe à réussir le doublé depuis l'AC Milan d'Arrigo Sacchi (1989-1990). Guardiola, qui ne compte pas s'éterniser en Catalogne, peut aussi égaler le record du mythique entraîneur des Reds Bob Paisley en remportant sa troisième coupe aux grandes oreilles. Depuis 2006, le Barça n'a été éliminé que par des clubs anglais (Liverpool en 8e en 2007, Manchester United en demie en 2008) et par un club entraîné par Jose Mourinho, l'Inter Milan en 2010 (en demi-finale). Cette fois, le duel à distance Real-Barça, après la séquence houleuse des quatre clasicos printaniers, pourrait revenir sur la scène européenne. Car Mourinho l'a dit: chacune de ses équipes tourne à plein régime à partir de la deuxième année. On y est. Et le Real semble mieux armé cette saison, avec un Benzema en net progrès pour épauler Cristiano Ronaldo, et un recrutement peu clinquant mais malin (Coentrao, Hamit Altintop, Sahin, Callejon).
La saison dernière, en atteignant le dernier carré, le "Special One" est parvenu à briser la malédiction des 8e de finale, sur lesquels le Real avait buté pendant six ans. Après avoir eu la tête du directeur sportif Jorge Valdano, il a désormais les coudées franches. Et une pression démentielle: celle de ramener à Madrid la "Decima", la 10e C1. Sous peine d'impatienter sohn président Florentino Perez.
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