Le gouvernement ivoirien, à travers le ministère des Transports, organise de jeudi à samedi à Yamoussoukro, les états généraux de la mer, en vue d’adopter une politique maritime à même de dynamiser le secteur des transports maritimes.
Le but est de faire de la Côte une grande nation maritime à l’horizon 2040, par une exploitation rationnelle des immenses potentialités dont dispose le pays.
A l’ouverture des travaux, le ministre des Transports, Gaoussou Touré a fait observer que le secteur des transports est très sinistré. « A l’instar des secteurs des transports routier, ferroviaire et aérien, le secteur maritime est totalement sinistré. Sinistre marqué par un code de la marine marchande vieux de plus de 50 ans, la disparition des compagnies nationales (Sitram, Sivomar, Sisa, Sivom, etc.), le manque de vision globale du développement du secteur maritime », a-t-il cité.
Le ministre a souligné que les travaux ambitionnent de définir les actions à mener afin que la Côte d’Ivoire puisse tirer des ressources des activités maritimes tout en garantissant la gestion de l’écosystème marin. Il a noté que le pays possède 550 km de côte, en plus d’une zone exclusivement économique de plus de 209 000 km, soit 65% de la superficie du territoire, à la quelle s’ajoute un important complexe laguno-portuaire.
« Le gouvernement attend de ces assises l’élaboration d’une politique maritime et portuaire cohérente et intégrée en vue de contribuer significativement à la relance économique; l’élaboration d’un nouveau code de la marine marchande qui définira la cadre juridique et réglementaire favorable à l’éclosion d’un secteur privé maritime dynamique capable de faire face aux enjeux de la mondialisation et de l’élaboration d’une stratégie de développement du cabotage et du bateau bus », a ajouté le ministre.
Par ailleurs, Gaoussou Touré a précisé qu’il s’agit d’encourager le secteur privé à la création de compagnies maritimes nationales, de concevoir une politique des navires battant pavillon ivoirien; d’intensifier la formation de tous les acteurs du secteur maritime et enfin de définir une stratégie de lutte contre la pollution marine et lagunaire et de prévenir des changements climatiques pouvant entraîner des catastrophes à des échelles non maîtrisables.
« J’invite les opérateurs privés à investir immédiatement dans le développement du transport lagunaire par bateau bus de manière à soulager les populations en desservant tous les quartiers », a-t-il lancé.
Le but est de faire de la Côte une grande nation maritime à l’horizon 2040, par une exploitation rationnelle des immenses potentialités dont dispose le pays.
A l’ouverture des travaux, le ministre des Transports, Gaoussou Touré a fait observer que le secteur des transports est très sinistré. « A l’instar des secteurs des transports routier, ferroviaire et aérien, le secteur maritime est totalement sinistré. Sinistre marqué par un code de la marine marchande vieux de plus de 50 ans, la disparition des compagnies nationales (Sitram, Sivomar, Sisa, Sivom, etc.), le manque de vision globale du développement du secteur maritime », a-t-il cité.
Le ministre a souligné que les travaux ambitionnent de définir les actions à mener afin que la Côte d’Ivoire puisse tirer des ressources des activités maritimes tout en garantissant la gestion de l’écosystème marin. Il a noté que le pays possède 550 km de côte, en plus d’une zone exclusivement économique de plus de 209 000 km, soit 65% de la superficie du territoire, à la quelle s’ajoute un important complexe laguno-portuaire.
« Le gouvernement attend de ces assises l’élaboration d’une politique maritime et portuaire cohérente et intégrée en vue de contribuer significativement à la relance économique; l’élaboration d’un nouveau code de la marine marchande qui définira la cadre juridique et réglementaire favorable à l’éclosion d’un secteur privé maritime dynamique capable de faire face aux enjeux de la mondialisation et de l’élaboration d’une stratégie de développement du cabotage et du bateau bus », a ajouté le ministre.
Par ailleurs, Gaoussou Touré a précisé qu’il s’agit d’encourager le secteur privé à la création de compagnies maritimes nationales, de concevoir une politique des navires battant pavillon ivoirien; d’intensifier la formation de tous les acteurs du secteur maritime et enfin de définir une stratégie de lutte contre la pollution marine et lagunaire et de prévenir des changements climatiques pouvant entraîner des catastrophes à des échelles non maîtrisables.
« J’invite les opérateurs privés à investir immédiatement dans le développement du transport lagunaire par bateau bus de manière à soulager les populations en desservant tous les quartiers », a-t-il lancé.