Abidjan – Quelques semaines après le nomination par le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko a remis jeudi aux nouveaux directeurs centraux, directeurs généraux adjoints et préfets de police, leur feuille de route.
« C’est le lieu de rappeler que ces nominations sont le résultat d’un travail minutieux alliant expertise et critères rigoureux qui ont guidé le choix de vos différentes personnalités. Je veux parler des critères de grades, de l’ancienneté, de l’expérience et de la compétence », a indiqué M. Bakayoko aux nouveaux promus.
Le ministre d’Etat a engagé ses collaborateurs à instaurer quotidiennement la discipline, l’éthique, la rigueur et le respect des droits de l’Homme, dans ce pays qui sort d’une grave crise ayant pour conséquence, entre autres, la recrudescence du grand banditisme.
Expliquant que le Chef de l’Etat tient à ce que la nouvelle police ivoirienne soit un modèle en Afrique, Hamed Bakayoko a reconnu que beaucoup reste à faire. Il a appelé les responsables de la police à réconcilier cette administration avec les populations. « Nous avons un devoir envers les Ivoiriens: nous devons les sécuriser, les rassurer et les protéger », a-t-il dit.
Par ailleurs, le premier responsable de la sécurité a assuré ses collaborateurs de l’engagement de l’Etat leur donner les moyens pour mener à bien leurs missions, malgré le contexte de crise et la rareté des ressources.
« Je vous propose un contrat. Un contrat de confiance entre l’Etat et la police du point de vue des engagements de l’Etat vis-à-vis de l’ensemble des policiers et un contrat de confiance entre la police et la population du point de vue des devoirs des policiers vis-à-vis de tous nos concitoyens », a-t-il déclaré, prévenant qu’il n’ y aura plus d’impunité en Côte d’Ivoire.
« C’est pour cela que je veux que chacun soit prêt à assumer les conséquences de ses propres actes mais également celles de ses collaborateurs dès l’instant où il apparaîtra des preuves de dysfonctionnements graves dus à la faiblesse dans le commandement, la négligence, l’absence de mécanisme de contrôle interne », a ajouté Hamed Bakayoko. Il profité de l’occasion pour annoncer la création de l’Unité de lutte contre le racket, pour enrayer ce fléau.
« C’est le lieu de rappeler que ces nominations sont le résultat d’un travail minutieux alliant expertise et critères rigoureux qui ont guidé le choix de vos différentes personnalités. Je veux parler des critères de grades, de l’ancienneté, de l’expérience et de la compétence », a indiqué M. Bakayoko aux nouveaux promus.
Le ministre d’Etat a engagé ses collaborateurs à instaurer quotidiennement la discipline, l’éthique, la rigueur et le respect des droits de l’Homme, dans ce pays qui sort d’une grave crise ayant pour conséquence, entre autres, la recrudescence du grand banditisme.
Expliquant que le Chef de l’Etat tient à ce que la nouvelle police ivoirienne soit un modèle en Afrique, Hamed Bakayoko a reconnu que beaucoup reste à faire. Il a appelé les responsables de la police à réconcilier cette administration avec les populations. « Nous avons un devoir envers les Ivoiriens: nous devons les sécuriser, les rassurer et les protéger », a-t-il dit.
Par ailleurs, le premier responsable de la sécurité a assuré ses collaborateurs de l’engagement de l’Etat leur donner les moyens pour mener à bien leurs missions, malgré le contexte de crise et la rareté des ressources.
« Je vous propose un contrat. Un contrat de confiance entre l’Etat et la police du point de vue des engagements de l’Etat vis-à-vis de l’ensemble des policiers et un contrat de confiance entre la police et la population du point de vue des devoirs des policiers vis-à-vis de tous nos concitoyens », a-t-il déclaré, prévenant qu’il n’ y aura plus d’impunité en Côte d’Ivoire.
« C’est pour cela que je veux que chacun soit prêt à assumer les conséquences de ses propres actes mais également celles de ses collaborateurs dès l’instant où il apparaîtra des preuves de dysfonctionnements graves dus à la faiblesse dans le commandement, la négligence, l’absence de mécanisme de contrôle interne », a ajouté Hamed Bakayoko. Il profité de l’occasion pour annoncer la création de l’Unité de lutte contre le racket, pour enrayer ce fléau.