Tristesse, larmes aux yeux, dans une position de recueillement. C'est dans un tel décor que les militants de l'Union pour la Démocratie et la Paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) se sont souvenus, comme si c'était hier, de la mort du président fondateur de leur parti, le général Robert Guéi (assassiné le 19 septembre 2002). En effet, à l'occasion du 9éme anniversaire de son assassinat, le Dr Albert Toikeusse Mabri, Président de l’UDPCI, ainsi que les militants et sympathisants du parti arc-en-ciel, se sont retrouvés ce lundi 19 septembre 2011, au siège de leur parti pour rendre hommage, à travers des prières, à leur défunt 1er président ainsi qu'à tous ceux des leurs qui ont perdu la vie, ce tragique 19 septembre 2002.
Dans son adresse aux militants, le président de l’UDPCI a salué les jeunes et les femmes de son parti pour leur détermination et leur engagement dans tous les combats pour la réhabilitation de Robert Guéi et la dignité de l'UDPCI. Il a indiqué que la cérémonie de ce jour s’inscrivait dans le cadre de la parole donnée. «Nous sommes réunis pour honorer la mémoire de Robert Guéï. Je vous invite à prier pour le repos de son âme, et pour la Côte d’Ivoire, pour la consolidation des acquis». Pour le Dr Albert Toikeusse Mabri, ce moment doit être un moment de galvanisation et non de tristesse. «Nous devons surmonter la tristesse, relever les défis qui nous attendent, et faire de l’UDPCI un parti capable de gouverner dans la paix», a-t-il conclu.
Service com.udpci
Dans son adresse aux militants, le président de l’UDPCI a salué les jeunes et les femmes de son parti pour leur détermination et leur engagement dans tous les combats pour la réhabilitation de Robert Guéi et la dignité de l'UDPCI. Il a indiqué que la cérémonie de ce jour s’inscrivait dans le cadre de la parole donnée. «Nous sommes réunis pour honorer la mémoire de Robert Guéï. Je vous invite à prier pour le repos de son âme, et pour la Côte d’Ivoire, pour la consolidation des acquis». Pour le Dr Albert Toikeusse Mabri, ce moment doit être un moment de galvanisation et non de tristesse. «Nous devons surmonter la tristesse, relever les défis qui nous attendent, et faire de l’UDPCI un parti capable de gouverner dans la paix», a-t-il conclu.
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