Des hommes de main de l’ex-président Laurent Gbagbo figurent dans la vague des premiers futurs pensionnaires de la prison militaire d’Abidjan (Mama).
La Maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama), sise au camp Galléni, au Plateau, ouvre ses portes très bientôt. La prison militaire comporte deux vieux bâtiments. Elle est composée d’un bureau qui sert d’administration pour le régisseur, l’adjudant de police Degny Esso et de cinq cellules meublées de sept lits. Pour l’heure, la Compagnie territoriale de Korhogo (CTK) sert de lieu de détention provisoire à tous les militaires, gendarmes et policiers inculpés dans le cadre des événements de la crise post-électorale. Ces militaires, policiers et gendarmes ont pris une part active dans la forfaiture orchestrée par l’ancien président de la République. Ceux-ci étaient en première ligne dans les détournements de deniers publics, d’achat d’armes de guerre, d’arrestation illégale, de séquestration, de meurtre des sept femmes d’Abobo et de recel de cadavres, de pillage des biens. Ces individus ont été tous entendus par le commissaire du gouvernement, le lt-colonel Ange Kessi Kouamé. Ils doivent quitter les jours à venir la cellule de Korhogo et prendre quartier dans les geôles de la maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama). Il s’agit du gal de brigade Bruno Dogbo Blé, du cdt Norbert Dua Kouassi, du lt-colonel René Daleba, du sous-lt Hervé Félix Zakro, des mdl-chef Adon Eustache Ange Yapo, Jonas Gnanoko, Amos Loba, des mdl Paul Sopie Gra, Kemé Kotia, Fabrice Tchika, du sergent Norbert Niamkey Ekolan dit Tyson, de l’adjudant Kouamé Kouakou, du sergent-chef Faitey Kouakou, des adjudants Zokou Bi Traboué, Gossé Bossé, du lt Zoh Loua, du colonel Adou Donga et bien d’autres officiers, sous-officiers et soldats de rang. La prison militaire est fin prête pour accueillir ses premiers pensionnaires dans les jours à venir. Lors de la visite du ministre-délégué près du Premier ministre chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, le 19 juillet 2011, il a dit qu’il ne veut plus d’une justice à deux vitesses. «Nous avons fait le constat de comprendre les procédures judiciaires en matière militaire. Nous avons apprécié les efforts de réformes et aussi la célérité avec laquelle le dossier est en cours, notamment la manière dont les événements post-crise étaient en train d’être traités. Nous avons insisté pour que tous ces dossiers soient mieux traités. Dans le processus de réconciliation, il est important que la justice intervienne en amont dès le départ pour que véritablement on puisse apprécier l’ampleur des dégâts de toute nature et que la réconciliation puisse se faire. Enfin nous avons donné des assurances au commissaire Ange Kessy que nous ferons tout possible pour que les moyens soient dégagés et que l’institution soit modernisée. J’ai fait le constat qu’il travaille dans des conditions difficiles et surtout qu’il travaille en harmonie avec la justice civile. Quand le même dossier est traité à la fois par les deux juridictions, ça nous donne parfois le sentiment qu’il y a une cacophonie. Avec le ministre d’Etat, ministre de la Justice, nous avons réglé ce problème pour que dorénavant, il n’y ait plus une justice à deux vitesses », a insisté le ministre. Aussi, des prévenus détenus à la compagnie territoriale de Korhogo et d’autres qui sont dans les cellules de la caserne de gendarmerie d’Agban, du camp commando de Koumassi où se trouvent certains militaires vont rejoindre la Mama. Tout ce monde convergera la semaine prochaine vers le parquet militaire et sera déféré le même jour.
La Maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama), sise au camp Galléni, au Plateau, ouvre ses portes très bientôt. La prison militaire comporte deux vieux bâtiments. Elle est composée d’un bureau qui sert d’administration pour le régisseur, l’adjudant de police Degny Esso et de cinq cellules meublées de sept lits. Pour l’heure, la Compagnie territoriale de Korhogo (CTK) sert de lieu de détention provisoire à tous les militaires, gendarmes et policiers inculpés dans le cadre des événements de la crise post-électorale. Ces militaires, policiers et gendarmes ont pris une part active dans la forfaiture orchestrée par l’ancien président de la République. Ceux-ci étaient en première ligne dans les détournements de deniers publics, d’achat d’armes de guerre, d’arrestation illégale, de séquestration, de meurtre des sept femmes d’Abobo et de recel de cadavres, de pillage des biens. Ces individus ont été tous entendus par le commissaire du gouvernement, le lt-colonel Ange Kessi Kouamé. Ils doivent quitter les jours à venir la cellule de Korhogo et prendre quartier dans les geôles de la maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama). Il s’agit du gal de brigade Bruno Dogbo Blé, du cdt Norbert Dua Kouassi, du lt-colonel René Daleba, du sous-lt Hervé Félix Zakro, des mdl-chef Adon Eustache Ange Yapo, Jonas Gnanoko, Amos Loba, des mdl Paul Sopie Gra, Kemé Kotia, Fabrice Tchika, du sergent Norbert Niamkey Ekolan dit Tyson, de l’adjudant Kouamé Kouakou, du sergent-chef Faitey Kouakou, des adjudants Zokou Bi Traboué, Gossé Bossé, du lt Zoh Loua, du colonel Adou Donga et bien d’autres officiers, sous-officiers et soldats de rang. La prison militaire est fin prête pour accueillir ses premiers pensionnaires dans les jours à venir. Lors de la visite du ministre-délégué près du Premier ministre chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, le 19 juillet 2011, il a dit qu’il ne veut plus d’une justice à deux vitesses. «Nous avons fait le constat de comprendre les procédures judiciaires en matière militaire. Nous avons apprécié les efforts de réformes et aussi la célérité avec laquelle le dossier est en cours, notamment la manière dont les événements post-crise étaient en train d’être traités. Nous avons insisté pour que tous ces dossiers soient mieux traités. Dans le processus de réconciliation, il est important que la justice intervienne en amont dès le départ pour que véritablement on puisse apprécier l’ampleur des dégâts de toute nature et que la réconciliation puisse se faire. Enfin nous avons donné des assurances au commissaire Ange Kessy que nous ferons tout possible pour que les moyens soient dégagés et que l’institution soit modernisée. J’ai fait le constat qu’il travaille dans des conditions difficiles et surtout qu’il travaille en harmonie avec la justice civile. Quand le même dossier est traité à la fois par les deux juridictions, ça nous donne parfois le sentiment qu’il y a une cacophonie. Avec le ministre d’Etat, ministre de la Justice, nous avons réglé ce problème pour que dorénavant, il n’y ait plus une justice à deux vitesses », a insisté le ministre. Aussi, des prévenus détenus à la compagnie territoriale de Korhogo et d’autres qui sont dans les cellules de la caserne de gendarmerie d’Agban, du camp commando de Koumassi où se trouvent certains militaires vont rejoindre la Mama. Tout ce monde convergera la semaine prochaine vers le parquet militaire et sera déféré le même jour.
Bahi K.
La Maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama), sise au camp Galléni, au Plateau, ouvre ses portes très bientôt. La prison militaire comporte deux vieux bâtiments. Elle est composée d’un bureau qui sert d’administration pour le régisseur, l’adjudant de police Degny Esso et de cinq cellules meublées de sept lits. Pour l’heure, la Compagnie territoriale de Korhogo (CTK) sert de lieu de détention provisoire à tous les militaires, gendarmes et policiers inculpés dans le cadre des événements de la crise post-électorale. Ces militaires, policiers et gendarmes ont pris une part active dans la forfaiture orchestrée par l’ancien président de la République. Ceux-ci étaient en première ligne dans les détournements de deniers publics, d’achat d’armes de guerre, d’arrestation illégale, de séquestration, de meurtre des sept femmes d’Abobo et de recel de cadavres, de pillage des biens. Ces individus ont été tous entendus par le commissaire du gouvernement, le lt-colonel Ange Kessi Kouamé. Ils doivent quitter les jours à venir la cellule de Korhogo et prendre quartier dans les geôles de la maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama). Il s’agit du gal de brigade Bruno Dogbo Blé, du cdt Norbert Dua Kouassi, du lt-colonel René Daleba, du sous-lt Hervé Félix Zakro, des mdl-chef Adon Eustache Ange Yapo, Jonas Gnanoko, Amos Loba, des mdl Paul Sopie Gra, Kemé Kotia, Fabrice Tchika, du sergent Norbert Niamkey Ekolan dit Tyson, de l’adjudant Kouamé Kouakou, du sergent-chef Faitey Kouakou, des adjudants Zokou Bi Traboué, Gossé Bossé, du lt Zoh Loua, du colonel Adou Donga et bien d’autres officiers, sous-officiers et soldats de rang. La prison militaire est fin prête pour accueillir ses premiers pensionnaires dans les jours à venir. Lors de la visite du ministre-délégué près du Premier ministre chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, le 19 juillet 2011, il a dit qu’il ne veut plus d’une justice à deux vitesses. «Nous avons fait le constat de comprendre les procédures judiciaires en matière militaire. Nous avons apprécié les efforts de réformes et aussi la célérité avec laquelle le dossier est en cours, notamment la manière dont les événements post-crise étaient en train d’être traités. Nous avons insisté pour que tous ces dossiers soient mieux traités. Dans le processus de réconciliation, il est important que la justice intervienne en amont dès le départ pour que véritablement on puisse apprécier l’ampleur des dégâts de toute nature et que la réconciliation puisse se faire. Enfin nous avons donné des assurances au commissaire Ange Kessy que nous ferons tout possible pour que les moyens soient dégagés et que l’institution soit modernisée. J’ai fait le constat qu’il travaille dans des conditions difficiles et surtout qu’il travaille en harmonie avec la justice civile. Quand le même dossier est traité à la fois par les deux juridictions, ça nous donne parfois le sentiment qu’il y a une cacophonie. Avec le ministre d’Etat, ministre de la Justice, nous avons réglé ce problème pour que dorénavant, il n’y ait plus une justice à deux vitesses », a insisté le ministre. Aussi, des prévenus détenus à la compagnie territoriale de Korhogo et d’autres qui sont dans les cellules de la caserne de gendarmerie d’Agban, du camp commando de Koumassi où se trouvent certains militaires vont rejoindre la Mama. Tout ce monde convergera la semaine prochaine vers le parquet militaire et sera déféré le même jour.
La Maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama), sise au camp Galléni, au Plateau, ouvre ses portes très bientôt. La prison militaire comporte deux vieux bâtiments. Elle est composée d’un bureau qui sert d’administration pour le régisseur, l’adjudant de police Degny Esso et de cinq cellules meublées de sept lits. Pour l’heure, la Compagnie territoriale de Korhogo (CTK) sert de lieu de détention provisoire à tous les militaires, gendarmes et policiers inculpés dans le cadre des événements de la crise post-électorale. Ces militaires, policiers et gendarmes ont pris une part active dans la forfaiture orchestrée par l’ancien président de la République. Ceux-ci étaient en première ligne dans les détournements de deniers publics, d’achat d’armes de guerre, d’arrestation illégale, de séquestration, de meurtre des sept femmes d’Abobo et de recel de cadavres, de pillage des biens. Ces individus ont été tous entendus par le commissaire du gouvernement, le lt-colonel Ange Kessi Kouamé. Ils doivent quitter les jours à venir la cellule de Korhogo et prendre quartier dans les geôles de la maison d’arrêt militaire d’Abidjan (Mama). Il s’agit du gal de brigade Bruno Dogbo Blé, du cdt Norbert Dua Kouassi, du lt-colonel René Daleba, du sous-lt Hervé Félix Zakro, des mdl-chef Adon Eustache Ange Yapo, Jonas Gnanoko, Amos Loba, des mdl Paul Sopie Gra, Kemé Kotia, Fabrice Tchika, du sergent Norbert Niamkey Ekolan dit Tyson, de l’adjudant Kouamé Kouakou, du sergent-chef Faitey Kouakou, des adjudants Zokou Bi Traboué, Gossé Bossé, du lt Zoh Loua, du colonel Adou Donga et bien d’autres officiers, sous-officiers et soldats de rang. La prison militaire est fin prête pour accueillir ses premiers pensionnaires dans les jours à venir. Lors de la visite du ministre-délégué près du Premier ministre chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, le 19 juillet 2011, il a dit qu’il ne veut plus d’une justice à deux vitesses. «Nous avons fait le constat de comprendre les procédures judiciaires en matière militaire. Nous avons apprécié les efforts de réformes et aussi la célérité avec laquelle le dossier est en cours, notamment la manière dont les événements post-crise étaient en train d’être traités. Nous avons insisté pour que tous ces dossiers soient mieux traités. Dans le processus de réconciliation, il est important que la justice intervienne en amont dès le départ pour que véritablement on puisse apprécier l’ampleur des dégâts de toute nature et que la réconciliation puisse se faire. Enfin nous avons donné des assurances au commissaire Ange Kessy que nous ferons tout possible pour que les moyens soient dégagés et que l’institution soit modernisée. J’ai fait le constat qu’il travaille dans des conditions difficiles et surtout qu’il travaille en harmonie avec la justice civile. Quand le même dossier est traité à la fois par les deux juridictions, ça nous donne parfois le sentiment qu’il y a une cacophonie. Avec le ministre d’Etat, ministre de la Justice, nous avons réglé ce problème pour que dorénavant, il n’y ait plus une justice à deux vitesses », a insisté le ministre. Aussi, des prévenus détenus à la compagnie territoriale de Korhogo et d’autres qui sont dans les cellules de la caserne de gendarmerie d’Agban, du camp commando de Koumassi où se trouvent certains militaires vont rejoindre la Mama. Tout ce monde convergera la semaine prochaine vers le parquet militaire et sera déféré le même jour.
Bahi K.