Abidjan - L’ONU a demandé à l’OMS, au terme du premier sommet sur les maladies non transmissibles (MNT) tenu à New York en marge de l’Assemblée générale, de définir avant fin 2012 un ensemble d’indicateurs mondiaux pour suivre l’évolution de la situation et évaluer les progrès réalisés dans les pays.
Les participants à ce sommet sont convenus de la nécessité de fixer des objectifs au niveau mondial pour suivre l’évolution de ces maladies et de leurs facteurs de risque, notamment le tabagisme, une mauvaise alimentation, le manque d’exercice physique et l’usage nocif de l’alcool, afin de réduire le lourd tribut de souffrances, d’incapacités et de décès prématurés imputable au diabète, aux maladies cardio-vasculaires, aux accidents vasculaires cérébraux, aux pneumopathies chroniques et au cancer.
Les MNT tuent chaque année près de 36 millions de personnes, rappelle-t-on.
Les dirigeants du monde entier se sont engagés à fournir davantage d’efforts pour prévenir et traiter ces maladies et améliorer les soins, en permettant notamment un meilleur accès aux médicaments vitaux. Ils s’engagent aussi à intégrer des politiques visant à réduire les maladies non transmissibles dans les processus de planification sanitaire et les programmes de développement nationaux.
Selon une étude de la Banque mondiale, le coût mondial des MNT, entre 2005 et 2030, est estimé à 35.000 milliards de dollars.
(AIP)
Les participants à ce sommet sont convenus de la nécessité de fixer des objectifs au niveau mondial pour suivre l’évolution de ces maladies et de leurs facteurs de risque, notamment le tabagisme, une mauvaise alimentation, le manque d’exercice physique et l’usage nocif de l’alcool, afin de réduire le lourd tribut de souffrances, d’incapacités et de décès prématurés imputable au diabète, aux maladies cardio-vasculaires, aux accidents vasculaires cérébraux, aux pneumopathies chroniques et au cancer.
Les MNT tuent chaque année près de 36 millions de personnes, rappelle-t-on.
Les dirigeants du monde entier se sont engagés à fournir davantage d’efforts pour prévenir et traiter ces maladies et améliorer les soins, en permettant notamment un meilleur accès aux médicaments vitaux. Ils s’engagent aussi à intégrer des politiques visant à réduire les maladies non transmissibles dans les processus de planification sanitaire et les programmes de développement nationaux.
Selon une étude de la Banque mondiale, le coût mondial des MNT, entre 2005 et 2030, est estimé à 35.000 milliards de dollars.
(AIP)
