Le séminaire sur la « diplomatie ivoirienne : misions, bilan et perspectives 2025 et charte » a clos ses travaux, samedi dernier, après deux jours de réflexion. Dans la perspective de repositionner la Côte d’Ivoire dans le concert des nations au cours des 15 années à venir, les diplomates ont défini de nouvelles orientations, une sorte de boussole pour guider leurs actions.
Les diplomates ont maintenant une boussole, une sorte d’orientations nouvelles qui découlent de stratégies meilleures en vue de redorer le blason de la Côte d’Ivoire. Cette orientation nouvelle est consignée dans un document de base comportant plusieurs résolutions pour repositionner la Côte d’Ivoire au plan international. Un document décliné en plusieurs points dont pourrait s’inspirer le gouvernement dans ses activités : doter le ministère d’Etat, ministère des affaires étrangères d’un institut diplomatique et d’un laboratoire de langue. Outre cette réforme de l’outil diplomatique qui vise à redynamiser le diplomate ivoirien dans la politique étrangère, les diplomates exigent, pour le rayonnement de la Côte d’Ivoire sur la scène politique, l’apurement des arriérés et le paiement régulier des contributions dans les organisations internationales. Ils souhaitent également que l’Etat dote le ministère et les ambassades de ressources financières appropriées pour leur bon fonctionnement et faire la promotion des cadres ivoiriens dans la fonction publique internationale. C’est en substance ce qui ressort du séminaire de Grand-Bassam qui a clôturé ses assises, samedi, après deux jours de réflexions. L’objectif de cette rencontre vise à définir les stratégies, les meilleures, pour répondre aux exigences des défis nouveaux pour la diplomatie ivoirienne. Le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan, s’est engagé à être un avocat auprès du Premier ministre et du chef de l’Etat afin de procéder à la matérialisation de propositions pertinentes. Le chef de la diplomatie ivoirienne n’a pas manqué de rendre hommage au président de la République pour la loi portant statut du corps diplomatique qu’il se promet de prendre. Annonce qui est pour les travailleurs de son ministère, un grand soulagement dont « l’application va certainement améliorer les conditions de travail et constitue un formidable élément de motivation pour tous ». Cependant, le ministre d’Etat a attiré l’attention des diplomates sur les obligations qui résultent de « cette bienveillance présidentielle ». « Davantage de travail, d’engagement dans l’action. D’esprit d’initiative et de conquête », tels sont les défis auxquels il invite les diplomates pour faire du ministère des Affaires étrangères un pôle d’excellence.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
Les diplomates ont maintenant une boussole, une sorte d’orientations nouvelles qui découlent de stratégies meilleures en vue de redorer le blason de la Côte d’Ivoire. Cette orientation nouvelle est consignée dans un document de base comportant plusieurs résolutions pour repositionner la Côte d’Ivoire au plan international. Un document décliné en plusieurs points dont pourrait s’inspirer le gouvernement dans ses activités : doter le ministère d’Etat, ministère des affaires étrangères d’un institut diplomatique et d’un laboratoire de langue. Outre cette réforme de l’outil diplomatique qui vise à redynamiser le diplomate ivoirien dans la politique étrangère, les diplomates exigent, pour le rayonnement de la Côte d’Ivoire sur la scène politique, l’apurement des arriérés et le paiement régulier des contributions dans les organisations internationales. Ils souhaitent également que l’Etat dote le ministère et les ambassades de ressources financières appropriées pour leur bon fonctionnement et faire la promotion des cadres ivoiriens dans la fonction publique internationale. C’est en substance ce qui ressort du séminaire de Grand-Bassam qui a clôturé ses assises, samedi, après deux jours de réflexions. L’objectif de cette rencontre vise à définir les stratégies, les meilleures, pour répondre aux exigences des défis nouveaux pour la diplomatie ivoirienne. Le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan, s’est engagé à être un avocat auprès du Premier ministre et du chef de l’Etat afin de procéder à la matérialisation de propositions pertinentes. Le chef de la diplomatie ivoirienne n’a pas manqué de rendre hommage au président de la République pour la loi portant statut du corps diplomatique qu’il se promet de prendre. Annonce qui est pour les travailleurs de son ministère, un grand soulagement dont « l’application va certainement améliorer les conditions de travail et constitue un formidable élément de motivation pour tous ». Cependant, le ministre d’Etat a attiré l’attention des diplomates sur les obligations qui résultent de « cette bienveillance présidentielle ». « Davantage de travail, d’engagement dans l’action. D’esprit d’initiative et de conquête », tels sont les défis auxquels il invite les diplomates pour faire du ministère des Affaires étrangères un pôle d’excellence.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
