Le lundi 26 septembre 2011, Boureima Badini, représentant spécial du Facilitateur du dialogue direct inter ivoirien, recevait, à Abidjan, la direction intérimaire du Front populaire ivoirien (FPI), parti de l’ex-président Laurent Gbagbo. Simple routine? Peut-être. Mais le facilitateur en question est le dirigeant burkinabè, Blaise Compaoré, celui-là même que les fidèles de Gbagbo vouaient aux gémonies, l’accusant d’être un belligérant dans la crise ivoirienne. La Côte d’Ivoire qui entend emprunter le chemin de la réconciliation nationale a-t-elle donc déjà réussi la décrispation politique vis-à-vis de son voisin burkinabè?
«Trop tôt pour faire un bilan», affirme un ressortissant d’Afrique centrale installé à Ouagadougou depuis une vingtaine... suite de l'article sur Slate Afrique
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