Le professeur Blé Blé Charles, président de la Nouvelle Alliance Démocratique de Côte d’Ivoire pour la Justice, le Développement et la Paix, a procédé le samedi 8 Octobre 2011, à l’inauguration du siège de son parti à Cocody les Deux-Plateaux.
‘’J’ai créé mon parti pour préserver la paix. L’homme est sacré, il faut le préserver avant tout. Je n’ai jamais porté une arme et je n’en porterai jamais. La violence gratuite ne fait pas partie de mon vocabulaire. Le développement d’un pays doit se faire dans la justice et la paix. Nous pouvons parler de la Côte d’Ivoire en bannissant la violence’’, a précisé d’entrée Blé Blé Charles, président de la Nouvelle Alliance Démocratique de Côte d’Ivoire pour la Justice, le Développement et la Paix. Sur sa lancée, le président de la NADCI-JDP a invité les Ivoiriens à faire des propositions constructives pour leur pays. Car, dira-t-il, il y a beaucoup de choses à faire en Côte d’Ivoire. ‘’Si nous sommes allés à l’école pour revenir nous cacher ou nous taire, nous ne pouvons pas donner des propositions à notre gouvernement. Un homme politique qui souhaite que celui qui est Président de la République échoue pour qu’il le remplace, est un danger public. Si le Président échoue, nous allons tous partager l’échec. Si le Président réussit, nous allons tous partager le succès’’, a martelé l’ex-maire de Saïoua. Qui a demandé aux nouvelles autorités de garantir la sécurité des Ivoiriens sur toute l’étendue du territoire si on doit aller aux élections législatives. Pour la simple raison qu’il ne veut plus qu’il y ait des morts. ‘’Je ne crains pas les élections et je ne crains pas la défaite. Je veux aller aux élections, mais je ne veux pas en rajouter aux 3000 morts (…) Il est bon que le niveau de la sécurité revienne à la normale. Laurent Gbagbo a eu tort d’aller aux élections avec des armes. Nous ne voulons plus des hommes en armes dans les rues. On nous demande d’aller voter pendant que nos maisons sont occupées dans nos villages par des hommes en armes’’, a dénoncé Blé Blé Charles. S’agissant du processus de réconciliation nationale enclenché par le Président de la République Alassane Ouattara et surtout l’arrivée prochaine du procureur Luis Moreno-Ocampo de la CPI pour enquêter sur les événements postélectoraux en Côte d’Ivoire, le professeur a dit tout son regret qu’on n’ait pas mis à contribution la justice ivoirienne. ‘’Je regrette fondamentalement que la justice ivoirienne n’ait pas été mise à contribution pour juger les Ivoiriens. Aux Etats-Unis, on ne peut pas faire appel à une juridiction internationale pour juger un Américain. Il faut donner les moyens à notre justice pour juger les Ivoiriens. On ne peut pas absoudre certains crimes et juger d’autres crimes’’, a conclu Blé Blé Charles qui a demandé qu’un accent soit mis sur l’éducation des jeunes.
Dosso Villard
‘’J’ai créé mon parti pour préserver la paix. L’homme est sacré, il faut le préserver avant tout. Je n’ai jamais porté une arme et je n’en porterai jamais. La violence gratuite ne fait pas partie de mon vocabulaire. Le développement d’un pays doit se faire dans la justice et la paix. Nous pouvons parler de la Côte d’Ivoire en bannissant la violence’’, a précisé d’entrée Blé Blé Charles, président de la Nouvelle Alliance Démocratique de Côte d’Ivoire pour la Justice, le Développement et la Paix. Sur sa lancée, le président de la NADCI-JDP a invité les Ivoiriens à faire des propositions constructives pour leur pays. Car, dira-t-il, il y a beaucoup de choses à faire en Côte d’Ivoire. ‘’Si nous sommes allés à l’école pour revenir nous cacher ou nous taire, nous ne pouvons pas donner des propositions à notre gouvernement. Un homme politique qui souhaite que celui qui est Président de la République échoue pour qu’il le remplace, est un danger public. Si le Président échoue, nous allons tous partager l’échec. Si le Président réussit, nous allons tous partager le succès’’, a martelé l’ex-maire de Saïoua. Qui a demandé aux nouvelles autorités de garantir la sécurité des Ivoiriens sur toute l’étendue du territoire si on doit aller aux élections législatives. Pour la simple raison qu’il ne veut plus qu’il y ait des morts. ‘’Je ne crains pas les élections et je ne crains pas la défaite. Je veux aller aux élections, mais je ne veux pas en rajouter aux 3000 morts (…) Il est bon que le niveau de la sécurité revienne à la normale. Laurent Gbagbo a eu tort d’aller aux élections avec des armes. Nous ne voulons plus des hommes en armes dans les rues. On nous demande d’aller voter pendant que nos maisons sont occupées dans nos villages par des hommes en armes’’, a dénoncé Blé Blé Charles. S’agissant du processus de réconciliation nationale enclenché par le Président de la République Alassane Ouattara et surtout l’arrivée prochaine du procureur Luis Moreno-Ocampo de la CPI pour enquêter sur les événements postélectoraux en Côte d’Ivoire, le professeur a dit tout son regret qu’on n’ait pas mis à contribution la justice ivoirienne. ‘’Je regrette fondamentalement que la justice ivoirienne n’ait pas été mise à contribution pour juger les Ivoiriens. Aux Etats-Unis, on ne peut pas faire appel à une juridiction internationale pour juger un Américain. Il faut donner les moyens à notre justice pour juger les Ivoiriens. On ne peut pas absoudre certains crimes et juger d’autres crimes’’, a conclu Blé Blé Charles qui a demandé qu’un accent soit mis sur l’éducation des jeunes.
Dosso Villard
