Nous avons joint, le dimanche, le député Yao Yao Jules. Organisateur du meeting, il a martelé que le Front populaire ivoirien (Fpi) va continuer les rassemblements.
« Ça été sauvage (…). Au 20ème arrondissement, nous n’avons pu déposer la plainte compte tenu de la situation. Nous sommes allés au 6ème et on nous a dit que c’était mieux d’aller au 36ème. De là-bas, nous sommes allés au commissariat du District à Port-Bouët avant de revenir au 36ème. Et c’est au 20ème qu’un lieutenant a fait le constat. Mais nous sommes en train de réunir les preuves pour porter plainte. Je suis déçu de cette réaction. Les militants du Rdr se comportent comme ça, parce que le chef de l’Etat s’est déplacé pour aller dire aux exilés au Ghana de rentrer en les menaçant en même temps. Comment voulez-vous que le Fpi parte aux élections législatives quand ses cadres sont soit en prison, soit en exil ? Depuis mon premier meeting, ce sont des menaces que je reçois tous les jours sur mon portable. Ces menaces se sont intensifiées après le meeting de samedi dernier. Mais veulent-ils être les seuls en Côte d’Ivoire ? Je vous informe que pour le meeting du samedi, j’ai adressé une demande au 20ème arrondissement pour que les policiers viennent assurer la sécurité. J’ai même le récépissé. Mais, ils ne sont pas arrivés. Ce sont plutôt des gens que nous avons vus dans des tee-shirts Frci. Nous allons continuer de faire des meetings. Ce n’est pas ce qui s’est passé qui va nous décourager. Nous avons pensé que chacun allait mettre de l’eau dans son vin pour que nous puissions nous retrouver autour de la mère patrie ».
Recueillis par S.A
« Ça été sauvage (…). Au 20ème arrondissement, nous n’avons pu déposer la plainte compte tenu de la situation. Nous sommes allés au 6ème et on nous a dit que c’était mieux d’aller au 36ème. De là-bas, nous sommes allés au commissariat du District à Port-Bouët avant de revenir au 36ème. Et c’est au 20ème qu’un lieutenant a fait le constat. Mais nous sommes en train de réunir les preuves pour porter plainte. Je suis déçu de cette réaction. Les militants du Rdr se comportent comme ça, parce que le chef de l’Etat s’est déplacé pour aller dire aux exilés au Ghana de rentrer en les menaçant en même temps. Comment voulez-vous que le Fpi parte aux élections législatives quand ses cadres sont soit en prison, soit en exil ? Depuis mon premier meeting, ce sont des menaces que je reçois tous les jours sur mon portable. Ces menaces se sont intensifiées après le meeting de samedi dernier. Mais veulent-ils être les seuls en Côte d’Ivoire ? Je vous informe que pour le meeting du samedi, j’ai adressé une demande au 20ème arrondissement pour que les policiers viennent assurer la sécurité. J’ai même le récépissé. Mais, ils ne sont pas arrivés. Ce sont plutôt des gens que nous avons vus dans des tee-shirts Frci. Nous allons continuer de faire des meetings. Ce n’est pas ce qui s’est passé qui va nous décourager. Nous avons pensé que chacun allait mettre de l’eau dans son vin pour que nous puissions nous retrouver autour de la mère patrie ».
Recueillis par S.A