Des militants ivoiriens des droits de l’Homme veulent mener des enquêtes sur les violations des droits humains. Ils entendent remonter jusqu’en 2002.
Le Regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains (Raidh) veut mener des enquêtes concernant la violation des droits humains en Côte d’Ivoire de septembre 2002 à mai 2011. Selon le coordonnateur général du Raidh, Sindou Bamba, pendant cette période, la Côte d’Ivoire a connu de graves violations des droits humains. Ces excès ont engendré des déplacements massifs de populations et accentué la fracture sociale. C’est pourquoi son organisation a initié un projet intitulé : «Documentation et production de rapports sur les violations des droits humains en Côte d’Ivoire de septembre 2002 à mai 2011 ». Le coût du projet est de plus de 118 millions de F Cfa. La cérémonie de lancement dudit projet s’est déroulée hier à Cocody. «Nous voulons contribuer à l’instauration d’un Etat de droit par la documentation. Pour prévenir et éviter de nouvelles violations et surtout lutter contre l’impunité », a-t-il souligné. Le recueil d’informations et la documentation se feront en huit mois. Et le coordonnateur espère que les résultats pourront aider la Commission dialogue vérité et réconciliation (Cdvr).
S.S (stagiaire)
Le Regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains (Raidh) veut mener des enquêtes concernant la violation des droits humains en Côte d’Ivoire de septembre 2002 à mai 2011. Selon le coordonnateur général du Raidh, Sindou Bamba, pendant cette période, la Côte d’Ivoire a connu de graves violations des droits humains. Ces excès ont engendré des déplacements massifs de populations et accentué la fracture sociale. C’est pourquoi son organisation a initié un projet intitulé : «Documentation et production de rapports sur les violations des droits humains en Côte d’Ivoire de septembre 2002 à mai 2011 ». Le coût du projet est de plus de 118 millions de F Cfa. La cérémonie de lancement dudit projet s’est déroulée hier à Cocody. «Nous voulons contribuer à l’instauration d’un Etat de droit par la documentation. Pour prévenir et éviter de nouvelles violations et surtout lutter contre l’impunité », a-t-il souligné. Le recueil d’informations et la documentation se feront en huit mois. Et le coordonnateur espère que les résultats pourront aider la Commission dialogue vérité et réconciliation (Cdvr).
S.S (stagiaire)