La Présidente-Fondatrice de l’Ong "Servir", Henriette Bomo Koizan-Bédié, a été Première dame de Côte d’Ivoire de 1993 à 1999. Quand son époux, Henri Konan Bédié, était aux affaires, grâce à son Ong "Servir", elle a fait prendre des décrets pour l’insertion des handicapés dans tous les compartiments de la vie sociale et économique, principalement dans l’administration. C’est de cette date qu’ont commencé à pleuvoir, et qu’ils pleuvent encore, les superlatifs de «la Dame au grand cœur, la Dame au cœur d’or, la Vagabonde de la charité : la Mère Teresa de Côte d’Ivoire, la luciole des déshérités, la prophétesse de la bonté» pour magnifier l’amour et la dévotion de Mme Henriette Bédié qui se met totalement au service des autres, singulièrement des personnes en difficulté. Sans exclusive. Les Ivoiriens se souviennent, comme si cela datait hier, du rugbyman Max Britto qui eut au cours d’un match, un accident qui l’a rendu invalide à vie. Tout le monde a vu comment Mme Henriette Bédié le couvait de son amour et de son affection. Grâce à la «Dame au cœur d’or», le cas Max Britto était devenu un cas national.
Quand Mme Henriette Bédié a quitté, par la force des choses, ses fonctions de Première dame, les mauvaises langues ont commencé à jaser : «on va voir où elle va gagner son argent pour faire son "Servir-là"» ! Hommes et femmes de peu de foi ! Vous qui n’avez aucune conscience et aucune conviction, prenez au moins le soin d’ouvrir les yeux et les oreilles. Voici, de 1999 à 2011, 12 ans que la «vagabonde de la charité» n’est plus au palais présidentiel. Et l’Ong «Servir» se porte comme un charme. Elle brille, d’ailleurs, de mille feux. Elle organise son 7e gala de bienfaisance au profit de ceux qui souffrent des maux de reins. Cette vigueur de l’Ong "Servir" de Mme la présidente fondatrice, Henriette Bédié, n’étonne guère pour peu qu’on soit visité par les principes fondamentaux de la vie. La cause que Mme Henriette Bédié épouse est noble. Le but l’est tout autant : aimer son prochain comme soi-même jusque à prendre sa place dans la souffrance. Oui, aujourd’hui, avec le centre d’hémodialyse, que Mme Henriette Bédié construit, elle entre en communion de corps et d’esprit avec tous ceux et toutes celles, jeunes et vieux, qui souffrent de cette pernicieuse maladie de reins. Quel geste est-il plus utile que celui de sauver des vies ? Mme Henriette Bédié, par cet acte, devient Jésus qui a donné sa vie pour racheter les péchés du monde. Par ce centre d’hémodialyse, la présidente-fondatrice de l’Ong «Servir» donne espoir et espérance à des millions et des millions d’hommes et de femmes de Côte d’Ivoire et d’ailleurs.
C’est pourquoi, je reste convaincu que des Ivoiriens d’ici et de la diaspora, des Africains d’ici et de la diaspora, en fait, tout homme et toute femme sensibles à la douleur, se montreront généreux pour accompagner Mme Henriette Bédié. Et qu’elle repartira du 7ème gala, les bras chargés de dons et de legs pour sauver des vies. C’est le lieu de remercier «La vagabonde de la charité», Mme Henriette Bédié, et son équipe de l’Ong «Servir» qui rappellent à notre conscience, notre humanité. Et qui, inlassablement, œuvrent pour que chacun de nous se dise, «oui, moi aussi, j’ai droit à la vie, j’ai droit au bonheur».
Merci Maman ! Merci surtout pour cette grande leçon d’humanisme.
Par Denis Kah Zion
Quand Mme Henriette Bédié a quitté, par la force des choses, ses fonctions de Première dame, les mauvaises langues ont commencé à jaser : «on va voir où elle va gagner son argent pour faire son "Servir-là"» ! Hommes et femmes de peu de foi ! Vous qui n’avez aucune conscience et aucune conviction, prenez au moins le soin d’ouvrir les yeux et les oreilles. Voici, de 1999 à 2011, 12 ans que la «vagabonde de la charité» n’est plus au palais présidentiel. Et l’Ong «Servir» se porte comme un charme. Elle brille, d’ailleurs, de mille feux. Elle organise son 7e gala de bienfaisance au profit de ceux qui souffrent des maux de reins. Cette vigueur de l’Ong "Servir" de Mme la présidente fondatrice, Henriette Bédié, n’étonne guère pour peu qu’on soit visité par les principes fondamentaux de la vie. La cause que Mme Henriette Bédié épouse est noble. Le but l’est tout autant : aimer son prochain comme soi-même jusque à prendre sa place dans la souffrance. Oui, aujourd’hui, avec le centre d’hémodialyse, que Mme Henriette Bédié construit, elle entre en communion de corps et d’esprit avec tous ceux et toutes celles, jeunes et vieux, qui souffrent de cette pernicieuse maladie de reins. Quel geste est-il plus utile que celui de sauver des vies ? Mme Henriette Bédié, par cet acte, devient Jésus qui a donné sa vie pour racheter les péchés du monde. Par ce centre d’hémodialyse, la présidente-fondatrice de l’Ong «Servir» donne espoir et espérance à des millions et des millions d’hommes et de femmes de Côte d’Ivoire et d’ailleurs.
C’est pourquoi, je reste convaincu que des Ivoiriens d’ici et de la diaspora, des Africains d’ici et de la diaspora, en fait, tout homme et toute femme sensibles à la douleur, se montreront généreux pour accompagner Mme Henriette Bédié. Et qu’elle repartira du 7ème gala, les bras chargés de dons et de legs pour sauver des vies. C’est le lieu de remercier «La vagabonde de la charité», Mme Henriette Bédié, et son équipe de l’Ong «Servir» qui rappellent à notre conscience, notre humanité. Et qui, inlassablement, œuvrent pour que chacun de nous se dise, «oui, moi aussi, j’ai droit à la vie, j’ai droit au bonheur».
Merci Maman ! Merci surtout pour cette grande leçon d’humanisme.
Par Denis Kah Zion