En Côte d’Ivoire, des jeunes sont en colère dans la commune populaire d’Adjamé, à Abidjan. Des éléments des FRCI, les Forces républicaines de Côte d’Ivoire, les empêchent de travailler. Plus de 2 800 étudiants ou diplômés au chômage, qui se sont tournées vers le secteur informel, se croyaient visés par la politique en cours de démolition des commerces illégaux.
Au black market (marché noir) d’Adjamé, une rue d’environ 300 m de long. Des boutiques de part et d’autre. Un parking sur un côté, occupé depuis des années par des vendeurs de téléphones portables. Près 70% d’entre eux sont des jeunes ou d’anciens diplômés au chômage et des étudiants.
La semaine dernière, dans la nuit de jeudi à vendredi, les caisses sur lesquels ils étalent... suite de l'article sur RFI
Au black market (marché noir) d’Adjamé, une rue d’environ 300 m de long. Des boutiques de part et d’autre. Un parking sur un côté, occupé depuis des années par des vendeurs de téléphones portables. Près 70% d’entre eux sont des jeunes ou d’anciens diplômés au chômage et des étudiants.
La semaine dernière, dans la nuit de jeudi à vendredi, les caisses sur lesquels ils étalent... suite de l'article sur RFI