La résidence de Pierre Amondji située à la Riviera-Golf, dans le voisinage de celle d’Alassane Ouattara a été démolie hier par le ministère de la construction et de l’urbanisme, selon des sources crédibles. Une démolition confirmée par le concerné qui ne comprend pas les motivations de cet acte du ministre Sanogo Mamadou. Il sait seulement que depuis quelques mois, le ministère de la construction le harcèle pour le contraindre à démolir cette maison sous prétexte qu’elle serait située sur l’emprise du futur troisième pont Marcory-Riviera.
Pourtant, selon M. Pierre Amondji, toutes les études qui ont été effectuées dans le cadre de la construction du pont excluent sa résidence.
Au mois d’août dernier, par courrier, le ministère de la construction avait demandé à M. Amondji d’évaluer le coût des investissements réalisés sur le terrain. Ce qui a été fait par les soins d’un expert immobilier. Et alors que l’ancien gouverneur du District d’Abidjan attendait de s’asseoir avec les gens du ministère de la construction pour trouver une issue au problème, il apprend que sa résidence a été démolie.
Tout porte à croire que la vraie raison de cette démolition se trouve dans le fait que la résidence d’Amondji est trop proche de celle de M. Ouattara. Un crime de lèse majesté, pourrait-on dire.
Augustin Kouyo
Pourtant, selon M. Pierre Amondji, toutes les études qui ont été effectuées dans le cadre de la construction du pont excluent sa résidence.
Au mois d’août dernier, par courrier, le ministère de la construction avait demandé à M. Amondji d’évaluer le coût des investissements réalisés sur le terrain. Ce qui a été fait par les soins d’un expert immobilier. Et alors que l’ancien gouverneur du District d’Abidjan attendait de s’asseoir avec les gens du ministère de la construction pour trouver une issue au problème, il apprend que sa résidence a été démolie.
Tout porte à croire que la vraie raison de cette démolition se trouve dans le fait que la résidence d’Amondji est trop proche de celle de M. Ouattara. Un crime de lèse majesté, pourrait-on dire.
Augustin Kouyo