A quelques heures de votre meeting, peut-on en savoir plus?
Nous sommes très heureux. Depuis quelques jours, nous recevons des coups fil de soutien de la part des Ivoiriens. Et cela nous fait chaud au cœur. Pour dire que les Ivoiriens ont besoin d’un tel rassemblement. Nous sommes fiers. Ces coups de fil et messages nous réconfortent dans notre mission de mener la lutte pour la libération non seulement du Président Laurent Gbagbo et des autres camarades. Mais aussi pour l’instauration de la démocratie en Côte d’Ivoire. Nous n’avons pas le droit de baisser les bras. Ce meeting sera l’occasion de nous réengager. En plus, ce sera le point départ des manifestations démocratiques que nous entendons organiser.
Avez-vous informé les autorités?
Pour ce meeting, nous avons pris soin d’informer toutes institutions nationales et les missions diplomatiques. Nous sommes des légalistes. Nous ne faisons rien en dehors de la Constitution qui est la boussole de notre pays. Nous sommes les pères de la démocratie en Côte d’Ivoire. Nous sommes une organisation légalement constituée.
N’avez-vous pas peur qu’on vienne interdire ce meeting comme celui la Jfpi ?
Nous faisons confiance aux autorités. Nous pensons qu’elles sont habitées par la sagesse. Nous voulons rassurer les uns et les autres. Notre meeting est pacifique.
Quelles consignes donnez-vous à vos camarades ?
Nous demandons à tous les responsables des structures de base de se mobiliser pour le meeting. Que ceux qui sont encore terrés, sortent pour prendre leur part active dans le combat. Nous rappelons aux camarades que nous sommes une organisation de gauche donc de combat. Nous devons nous adapter à toutes les circonstances quelles que soient leur rudesse. Nous invitons tous ceux qui sont épris de paix et de justice à faire massivement le déplacement ce dimanche.
Quelles sont les dispositions prises pour éviter ce qui s’est passé à Koumassi ?
Les premières personnes à assurer la sécurité de notre meeting, c’est nous-mêmes. Chacun sera le policier de son camarade. Ensuite, le ministère de l’Intérieur a le devoir d’assurer notre sécurité. Nous demandons à nos camarades de ne pas répondre aux provocations de ceux qui sont en face. Nous avons un seul objectif : réussir la manifestation.
Entretien réalisé par : Yacouba Gbané
Nous sommes très heureux. Depuis quelques jours, nous recevons des coups fil de soutien de la part des Ivoiriens. Et cela nous fait chaud au cœur. Pour dire que les Ivoiriens ont besoin d’un tel rassemblement. Nous sommes fiers. Ces coups de fil et messages nous réconfortent dans notre mission de mener la lutte pour la libération non seulement du Président Laurent Gbagbo et des autres camarades. Mais aussi pour l’instauration de la démocratie en Côte d’Ivoire. Nous n’avons pas le droit de baisser les bras. Ce meeting sera l’occasion de nous réengager. En plus, ce sera le point départ des manifestations démocratiques que nous entendons organiser.
Avez-vous informé les autorités?
Pour ce meeting, nous avons pris soin d’informer toutes institutions nationales et les missions diplomatiques. Nous sommes des légalistes. Nous ne faisons rien en dehors de la Constitution qui est la boussole de notre pays. Nous sommes les pères de la démocratie en Côte d’Ivoire. Nous sommes une organisation légalement constituée.
N’avez-vous pas peur qu’on vienne interdire ce meeting comme celui la Jfpi ?
Nous faisons confiance aux autorités. Nous pensons qu’elles sont habitées par la sagesse. Nous voulons rassurer les uns et les autres. Notre meeting est pacifique.
Quelles consignes donnez-vous à vos camarades ?
Nous demandons à tous les responsables des structures de base de se mobiliser pour le meeting. Que ceux qui sont encore terrés, sortent pour prendre leur part active dans le combat. Nous rappelons aux camarades que nous sommes une organisation de gauche donc de combat. Nous devons nous adapter à toutes les circonstances quelles que soient leur rudesse. Nous invitons tous ceux qui sont épris de paix et de justice à faire massivement le déplacement ce dimanche.
Quelles sont les dispositions prises pour éviter ce qui s’est passé à Koumassi ?
Les premières personnes à assurer la sécurité de notre meeting, c’est nous-mêmes. Chacun sera le policier de son camarade. Ensuite, le ministère de l’Intérieur a le devoir d’assurer notre sécurité. Nous demandons à nos camarades de ne pas répondre aux provocations de ceux qui sont en face. Nous avons un seul objectif : réussir la manifestation.
Entretien réalisé par : Yacouba Gbané