Le président Ouattara est arrivé hier à Ouagadougou pour prendre part au 2ème sommet de la mise en œuvre du traité d’amitié avec le Burkina.
Le président Ouattara nourrit l’ambition de repositionner la Côte d’Ivoire sur la scène sous-régionale où le pays doit retrouver sa place de leader perdue sous les soleils de la refondation. Le chef de l’Etat ivoirien l’affirmé hier à son arrivée à Ouagadougou. « Nous avons de grandes ambitions pour la sous-région. C’est le sens de mes visites dans les pays du Conseil de l’entente », a fait savoir Alassane Ouattara. Pour lui, la globalisation impose aux pays africains le devoir d’aboutir à l’intégration économique au risque de disparaître devant la concurrence des grandes puissances. Le chef de l’Etat ivoirien a rendu un hommage appuyé à son hôte, venu l’accueillir à l’aéroport. « Je suis venu remercier le président du Burkina Faso. C’est grâce à vous que nous avons pu organiser des élections démocratiques », s’est-il adressé à Blaise Compaoré présent à ses côtés. Ouattara est présent dans la capitale burkinabé dans le cadre de la 2ème conférence au sommet du traité d’amitié et de coopération entre les deux pays signé le 29 juillet 2008. Cette coopération va connaître un coup d’accélérateur grâce à la volonté des deux présidents qui veulent aller vite dans la réalisation de grands projets communs. Ce matin, au palais de Kossyam, Blaise et son hôte vont présider un Conseil des ministres conjoint. Ils vont signer plusieurs protocoles d’accords qui vont mettre en œuvre le traité d’amitié et de coopération qui lie les deux voisins. Dans cette perspective, il est prévu la construction de l’autoroute Yamoussoukro-Ouaga de même que le prolongement du chemin de fer à Niamey. Depuis le 15 novembre, les experts des deux pays ont préparé cette rencontre au sommet à travers l’examen des projets communs.
Nomel Essis
Envoyé spécial à Ouagadougou
Le président Ouattara nourrit l’ambition de repositionner la Côte d’Ivoire sur la scène sous-régionale où le pays doit retrouver sa place de leader perdue sous les soleils de la refondation. Le chef de l’Etat ivoirien l’affirmé hier à son arrivée à Ouagadougou. « Nous avons de grandes ambitions pour la sous-région. C’est le sens de mes visites dans les pays du Conseil de l’entente », a fait savoir Alassane Ouattara. Pour lui, la globalisation impose aux pays africains le devoir d’aboutir à l’intégration économique au risque de disparaître devant la concurrence des grandes puissances. Le chef de l’Etat ivoirien a rendu un hommage appuyé à son hôte, venu l’accueillir à l’aéroport. « Je suis venu remercier le président du Burkina Faso. C’est grâce à vous que nous avons pu organiser des élections démocratiques », s’est-il adressé à Blaise Compaoré présent à ses côtés. Ouattara est présent dans la capitale burkinabé dans le cadre de la 2ème conférence au sommet du traité d’amitié et de coopération entre les deux pays signé le 29 juillet 2008. Cette coopération va connaître un coup d’accélérateur grâce à la volonté des deux présidents qui veulent aller vite dans la réalisation de grands projets communs. Ce matin, au palais de Kossyam, Blaise et son hôte vont présider un Conseil des ministres conjoint. Ils vont signer plusieurs protocoles d’accords qui vont mettre en œuvre le traité d’amitié et de coopération qui lie les deux voisins. Dans cette perspective, il est prévu la construction de l’autoroute Yamoussoukro-Ouaga de même que le prolongement du chemin de fer à Niamey. Depuis le 15 novembre, les experts des deux pays ont préparé cette rencontre au sommet à travers l’examen des projets communs.
Nomel Essis
Envoyé spécial à Ouagadougou