Pendant que le Président Alassane Ouattara se bat pour remettre la Côte d’Ivoire sur les rails après plus de dix (10) ans d’enfer vécus sous la refondation, les responsables de l’ex-parti au pouvoir (Fpi) font des pieds et des mains pour annihiler cet effort. Ado aux Etats Unis, en France, au Ghana, au Libéria, au Nigéria… et depuis le mardi 22 novembre dernier au Royaume de Belgique pour renouer avec les Institutions de l’Union Européenne. Tous ces efforts ne semblent pas émouvoir les caciques de l’ex-camp de La majorité présidentielle (Lmp). Ils ont plutôt choisi la voie du sabotage. A travers des discours guerriers et des actes de provocations. Après avoir refusé d’aller officiellement aux législatives annoncées pour le 11 décembre prochain pour certaines raisons, à savoir la libération de Laurent Gbagbo et les autres détenus Lmp, la révision de la composition de la Commission électorale indépendante (Cei), l’instauration de la sécurité sur toute l’étendue du territoire…, désormais les ex-‘‘pouvoiristes’’ ont décidé de s’inscrire dans une logique guerrière. Si ce n’est pas des meetings de provocations, ce sont des chantages tel que « si Ouattara veut la réconciliation, qu’il libère Gbagbo». Selon des sources bien introduites, le Fpi qui ne digère pas le départ de ses caciques du pouvoir aurait choisi la voie du sabotage.
A cet effet, il aurait décidé de mettre en alerte maximale la communauté internationale. Leur stratégie ; faire intervenir les Occidentaux pour la libération de Laurent Gbagbo. Depuis quelques jours, les confrères proches dudit parti s’illustrent très bien dans ce nouveau schéma. Peut-on libérer Gbagbo après avoir cautionné une crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts sans chercher à savoir les raisons qui l’ont motivé? Que non. Car tous sont conscients qu’il ne peut y avoir de réconciliation sans justice. Ado en tant qu’ancien premier ministre d’Houphouët-Boigny doit savoir que le Fpi a toujours exercé une opposition radicale. En témoigne sa sortie en févier 1992 où il a mis à feu et à sang le Plateau. Ne dit-on pas que « le chien ne change jamais sa manière de s’asseoir » ? Qui a bu boira ! Alors, le Président ivoirien qui bénéficie de l’onction de la majorité des Ivoiriens devrait faire sien ce dicton: « le chien aboie, la caravane passe ».
Benoît Amon
A cet effet, il aurait décidé de mettre en alerte maximale la communauté internationale. Leur stratégie ; faire intervenir les Occidentaux pour la libération de Laurent Gbagbo. Depuis quelques jours, les confrères proches dudit parti s’illustrent très bien dans ce nouveau schéma. Peut-on libérer Gbagbo après avoir cautionné une crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts sans chercher à savoir les raisons qui l’ont motivé? Que non. Car tous sont conscients qu’il ne peut y avoir de réconciliation sans justice. Ado en tant qu’ancien premier ministre d’Houphouët-Boigny doit savoir que le Fpi a toujours exercé une opposition radicale. En témoigne sa sortie en févier 1992 où il a mis à feu et à sang le Plateau. Ne dit-on pas que « le chien ne change jamais sa manière de s’asseoir » ? Qui a bu boira ! Alors, le Président ivoirien qui bénéficie de l’onction de la majorité des Ivoiriens devrait faire sien ce dicton: « le chien aboie, la caravane passe ».
Benoît Amon