Comme annoncé, le concert de la paix dénommé «décompression, le show de la paix» a eu lieu effectivement, le samedi dernier. Dès 14 heures, le stade d’Angré a ouvert ses portes, espace qui accueille le spectacle. Les mélomanes convergent nombreux, dans la discipline à ce lieu, comme s’ils se sont passé le mot. Les vendeurs aussi n’ont pas voulu manquer à ce show-business de la cité de Cocody. Ainsi, les vendeurs de viande braisée et autres y étaient visibles. Cela donnait à cette fête une allure de réveillon, de la Saint Sylvestre. L’ambiance est bon enfant. Elle démarre par les artistes en herbe qui font la levée de rideau.
Tous tirent leur épingle du jeu. Il est maintenant 15 heures quand l’artiste Safarel, porte-étendard du rythme «kuitata» déchire le voile des jokers. Sa prestation fait monter le mercure dans le public. Certains mélomanes qui n’ont pas encore accès au stade, se bousculent à l’entrée principale du stade. Safarel, avec ses danseuses aux reins cambrés ne font pas cadeau au public sur le podium avec une chorégraphie osée mais qui se marie bien avec l’esprit de la fête et crée une ambiance époustouflante. Le public qui ne tient plus jubile et reprend chaque fois la chanson de l’artiste. Le rythme est gardé quand on annonce des noms comme Lago Paulin. Eric Olomidé, Agalawal, Dj Lewis, Dj Debordo, Nash, Billy Billy, Serge Beynaud Kédjévara, Dj Bonana… l’ambiance est au summum. Un véritable régal pour les adeptes des concerts. Dans la mêlée on a pu voir des hommes de médias et de nuit, notamment Claude Tamo et Serge Defalet. Dr Ouatara Arsène et son équipe sont montés sur le podium pour esquisser quelques pas de danse, une façon de communier avec le public. A cette tribune encore, le patron du groupe Cocody Nouveau a appelé les Ivoiriens à quitter les chantiers de la violence, pour emprunter la voie de la paix qui mène au développement. Il a ensuite appelé la jeunesse de Cocody au travail, gage de la liberté et de la paix pour chaque individu.
Renaud Djatchi
Tous tirent leur épingle du jeu. Il est maintenant 15 heures quand l’artiste Safarel, porte-étendard du rythme «kuitata» déchire le voile des jokers. Sa prestation fait monter le mercure dans le public. Certains mélomanes qui n’ont pas encore accès au stade, se bousculent à l’entrée principale du stade. Safarel, avec ses danseuses aux reins cambrés ne font pas cadeau au public sur le podium avec une chorégraphie osée mais qui se marie bien avec l’esprit de la fête et crée une ambiance époustouflante. Le public qui ne tient plus jubile et reprend chaque fois la chanson de l’artiste. Le rythme est gardé quand on annonce des noms comme Lago Paulin. Eric Olomidé, Agalawal, Dj Lewis, Dj Debordo, Nash, Billy Billy, Serge Beynaud Kédjévara, Dj Bonana… l’ambiance est au summum. Un véritable régal pour les adeptes des concerts. Dans la mêlée on a pu voir des hommes de médias et de nuit, notamment Claude Tamo et Serge Defalet. Dr Ouatara Arsène et son équipe sont montés sur le podium pour esquisser quelques pas de danse, une façon de communier avec le public. A cette tribune encore, le patron du groupe Cocody Nouveau a appelé les Ivoiriens à quitter les chantiers de la violence, pour emprunter la voie de la paix qui mène au développement. Il a ensuite appelé la jeunesse de Cocody au travail, gage de la liberté et de la paix pour chaque individu.
Renaud Djatchi