Le président de l’ASCEC-CI (Association de la société civile pour l’éveil des consciences-Côte d’Ivoire), était à la mairie d’Abobo, le 26 novembre 2011, dans le cadre de la cérémonie d’investiture des présidents des différents bureaux de l’ABRECI (Association des Braves Résistants de Côte d’Ivoire). Au cours de cette cérémonie, il a prodigué des conseils à son auditoire, allant dans le sens de la réconciliation nationale.
«Je parle au nom des pauvres. Dioula-Bété-Baoulé-Adioukrou (…), nous sommes tous les mêmes. Nous sommes tous métis en Côte d’Ivoire. On a fait des palabres, ça suffit. Maintenant, il faut nous mettre ensemble pour construire la Côte d’Ivoire. Celui qui est à la tête de la Côte d’Ivoire, on doit l’aider à nous aider. Soutenez le Président de la République, Alassane Ouattara parce qu’on ne veut plus souffrir », a-t-il laissé entendre. Selon lui, le souhait du peuple, ce n’est pas la guerre. « Le peuple veut des usines, des maisons qu’il peut louer et en être le propriétaire par la suite », a-t-il souligné pour étayer ses propos relatifs au soutien à apporter au Président de la République. Lançant au passage des piques aux dignitaires religieux, il a fait savoir que ceux-ci ont plus qu’un devoir de vérité envers les politiques : « Dites la vérité aux hommes politiques. C’est votre mission. On ne veut plus de pasteurs, d’imams, de prêtres, qui rentrent le matin chez tel homme politique et le soir chez un autre. Ce qu’on vous demande, c’est de leur dire la vérité ». Pour les législatives du 11 décembre 2011, le président de l’ASCEC-CI estime que les politiques devaient d’abord demander pardon au peuple avant de les inviter à un nouveau scrutin, fut-ce des législatives. « Nous, sociétés, civile, nous ne faisons pas de politique. Nous sommes tous allés aux élections. Pour nous remercier, on a entendu des coups de fusils partout. A notre grand étonnement, on a enregistré 3000 morts. Ceux qui vont voter, ce sont des survivants. On ne nous a pas demandé pardon et on nous invite à des élections. Demandez pardon et ayez la paix entre vous d’abord », a-t-il lancé à l’endroit des hommes politiques. Quant à Souleymane Sangaré, président de l’ABRECI, il a indiqué que son association est née « de la récente crise postélectorale et son cortège de séquelles sur la population ivoirienne en général et sur celle de la commune d’Abobo en particulier. Arguant que son association est de la société civile sans distinction de bords politiques, d’ethnies, de religions et de races, il a assuré s’engager pour la réconciliation nationale sur toute l’étendue du territoire ivoirien. Toutefoiss eu égard à sa mission « de lutte contre la pauvreté et de la solidarité entre toutes les populations ivoiriennes, il a fait quelques doléances. « Nous souhaitons également recevoir de la part de nos autorités, un siège, un appui en matériel informatique pour être plus opérationnels, des bourses d’études et des embauches pour nos victimes dans les grands travaux du troisième pont de l’Ageroute », a-t-il plaidé.
K. H
«Je parle au nom des pauvres. Dioula-Bété-Baoulé-Adioukrou (…), nous sommes tous les mêmes. Nous sommes tous métis en Côte d’Ivoire. On a fait des palabres, ça suffit. Maintenant, il faut nous mettre ensemble pour construire la Côte d’Ivoire. Celui qui est à la tête de la Côte d’Ivoire, on doit l’aider à nous aider. Soutenez le Président de la République, Alassane Ouattara parce qu’on ne veut plus souffrir », a-t-il laissé entendre. Selon lui, le souhait du peuple, ce n’est pas la guerre. « Le peuple veut des usines, des maisons qu’il peut louer et en être le propriétaire par la suite », a-t-il souligné pour étayer ses propos relatifs au soutien à apporter au Président de la République. Lançant au passage des piques aux dignitaires religieux, il a fait savoir que ceux-ci ont plus qu’un devoir de vérité envers les politiques : « Dites la vérité aux hommes politiques. C’est votre mission. On ne veut plus de pasteurs, d’imams, de prêtres, qui rentrent le matin chez tel homme politique et le soir chez un autre. Ce qu’on vous demande, c’est de leur dire la vérité ». Pour les législatives du 11 décembre 2011, le président de l’ASCEC-CI estime que les politiques devaient d’abord demander pardon au peuple avant de les inviter à un nouveau scrutin, fut-ce des législatives. « Nous, sociétés, civile, nous ne faisons pas de politique. Nous sommes tous allés aux élections. Pour nous remercier, on a entendu des coups de fusils partout. A notre grand étonnement, on a enregistré 3000 morts. Ceux qui vont voter, ce sont des survivants. On ne nous a pas demandé pardon et on nous invite à des élections. Demandez pardon et ayez la paix entre vous d’abord », a-t-il lancé à l’endroit des hommes politiques. Quant à Souleymane Sangaré, président de l’ABRECI, il a indiqué que son association est née « de la récente crise postélectorale et son cortège de séquelles sur la population ivoirienne en général et sur celle de la commune d’Abobo en particulier. Arguant que son association est de la société civile sans distinction de bords politiques, d’ethnies, de religions et de races, il a assuré s’engager pour la réconciliation nationale sur toute l’étendue du territoire ivoirien. Toutefoiss eu égard à sa mission « de lutte contre la pauvreté et de la solidarité entre toutes les populations ivoiriennes, il a fait quelques doléances. « Nous souhaitons également recevoir de la part de nos autorités, un siège, un appui en matériel informatique pour être plus opérationnels, des bourses d’études et des embauches pour nos victimes dans les grands travaux du troisième pont de l’Ageroute », a-t-il plaidé.
K. H
