Le 3ème festival de film sur les droits humains et la liberté d’expression dénommé Ciné Droit Libre se tiendra, du 1er au 4 décembre prochain, en éclaté dans le district d’Abidjan (Goethe Institut, Insaac, Foyer des jeunes de Koumassi, mairie d’Abobo, Cinéma Dialogue et Café de Versailles). C’est ce qu’a confié, jeudi, au Goethe Institut (Cocody-Mermoz), le journaliste Yacouba Sangaré pour la version ivoirienne de la rencontre. Il était appuyé par Friso Maecker, nouveau directeur du Goethe.
« Ce festival s’imposait car le problème des Droits de l’Homme se pose avec acuité dans ce pays. Il faut donc imposer l’application de ces droits. Pour ce faire, on a besoin de sensibiliser sur les Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire et partout ailleurs », a noté Yacouba Sangaré. Qui a ajouté que l’un des objectifs de ce festival est d’amener les films vers les populations et de donner l’occasion au public de voir des films inédits qui sont très souvent censurés.
Quant à Friso Maecker, il a indiqué que les films qui seront proposés concernent tout le monde. Car pour lui, les Droits de l’Homme et la liberté d’expression ne sont pas acquis et il faut trouver des canaux pour en faire la promotion.
« Démocratie, violence et réconciliation en Afrique » est le thème de cette édition parrainée par Roland Lumumba, fils de Patrice Lumumba. En plus de ce dernier, il y aura Serge Bilé, Didier Awadi (le rappeur sénégalais qui s’essaie à la réalisation et dont le fruit du premier clap, « Le point de vue du Lion », est à l’affiche de cette rencontre cinématographique et le réalisateur allemand, Thomas Giefer comme invités. « Alpha Blondy, une vie de combat », « Thomas Sangara, l’homme intègre », « Le bateau qui pue », « Traversée du désert », « Kadhafi, notre meilleur ennemi », « Au cœur de la révolution tunisienne » sont aussi à l’affiche.
Trois jours avant le début de l’événement, un atelier de formation de cameramen et photographes se tiendra au Goethe Institut, partenaire de l’événement dont l’ouverture aura lieu au Goethe Institut ce jeudi 1er décembre et la clôture au Café de Versailles.
« Quelle place pour la jeunesse africaine dans la politique des Etats africains, 50 ans après », est le thème du forum du festival qui sera animé par plusieurs intellectuels africains, dont Didier Awadi, Serge Bilé, Pr. Amoa Urbain et Karim Ouattara.
Marcellin Boguy
« Ce festival s’imposait car le problème des Droits de l’Homme se pose avec acuité dans ce pays. Il faut donc imposer l’application de ces droits. Pour ce faire, on a besoin de sensibiliser sur les Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire et partout ailleurs », a noté Yacouba Sangaré. Qui a ajouté que l’un des objectifs de ce festival est d’amener les films vers les populations et de donner l’occasion au public de voir des films inédits qui sont très souvent censurés.
Quant à Friso Maecker, il a indiqué que les films qui seront proposés concernent tout le monde. Car pour lui, les Droits de l’Homme et la liberté d’expression ne sont pas acquis et il faut trouver des canaux pour en faire la promotion.
« Démocratie, violence et réconciliation en Afrique » est le thème de cette édition parrainée par Roland Lumumba, fils de Patrice Lumumba. En plus de ce dernier, il y aura Serge Bilé, Didier Awadi (le rappeur sénégalais qui s’essaie à la réalisation et dont le fruit du premier clap, « Le point de vue du Lion », est à l’affiche de cette rencontre cinématographique et le réalisateur allemand, Thomas Giefer comme invités. « Alpha Blondy, une vie de combat », « Thomas Sangara, l’homme intègre », « Le bateau qui pue », « Traversée du désert », « Kadhafi, notre meilleur ennemi », « Au cœur de la révolution tunisienne » sont aussi à l’affiche.
Trois jours avant le début de l’événement, un atelier de formation de cameramen et photographes se tiendra au Goethe Institut, partenaire de l’événement dont l’ouverture aura lieu au Goethe Institut ce jeudi 1er décembre et la clôture au Café de Versailles.
« Quelle place pour la jeunesse africaine dans la politique des Etats africains, 50 ans après », est le thème du forum du festival qui sera animé par plusieurs intellectuels africains, dont Didier Awadi, Serge Bilé, Pr. Amoa Urbain et Karim Ouattara.
Marcellin Boguy
