Longtemps attendue, la réaction du Front populaire ivoirien, est tombée, hier, à 21h 20 précises. Et, comme il fallait s’y attendre, dans sa déclaration, le parti de Laurent Gbagbo a condamné…, s’est insurgé…, a dénoncé… et a suspendu sa participation à tout processus de réconciliation, suite au transfèrement à la Haye, de son mentor. « Le Fpi, sur décision du comité central, affirme que le transfèrement du président Laurent Gbagbo signe la rupture du dialogue républicain », a-t-il décidé. Les députés et cadres du Fpi, candidats aux législatives dénoncent également « l’illégalité de la décision de la Cpi » .
Politique Publié le jeudi 1 décembre 2011 | Nord-Sud