Man - Un atelier international de deux jours réunissant des experts du Libéria, de la Guinée et de la Côte d’Ivoire sur la gestion durable des massifs de l’espace transfrontalier du Nimba s’est ouvert mardi à l’hôtel ‘Les cascades’ de Man.
Il s’agit pour les participants à cette concertation tripartite d’élaborer et de conclure un accord cadre visant à mettre en commun les stratégies individuelles permettant de gérer les besoins des populations et de lutter de manière plus efficace pour réduire les pressions et menaces identifiées contre les massifs du Nimba. La rencontre de Man est la troisième du genre après de celles de 2001 (Man) et 2002 (N’zérékoré, Guinée).
« Alors que le processus était bien lancé et que les parties ivoirienne, guinéenne et libérienne étaient déterminées à signer un accord cadre sur la conservation durable et tri nationale des Monts Nimba, survint en septembre 2002 en Côte d’Ivoire une crise militaro-politique. Ainsi, les contacts ont été interrompus entre les responsables de nos trois pays », a expliqué le directeur général de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), colonel Tolossama Adama.
« Avec la normalisation de la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire, je suis d’ores et déjà convaincu que cela va susciter un débat riche en résolutions visant à une gestion plus rationnelle de ce massif montagneux », a-t-il ajouté.
Zone protégée constituant un site privilégié pour la conservation de la diversité biologique la réserve nationale intégrale du mont Nimba a une superficie de 17 000 hectares qui s’étendent sur la Guinée, le Libéria et la Côte d’Ivoire. Malgré son statut de réserve intégrale, cette zone naturelle voit chaque jour ses écosystèmes menacés par diverses actions conjuguées.
Il s’agit pour les participants à cette concertation tripartite d’élaborer et de conclure un accord cadre visant à mettre en commun les stratégies individuelles permettant de gérer les besoins des populations et de lutter de manière plus efficace pour réduire les pressions et menaces identifiées contre les massifs du Nimba. La rencontre de Man est la troisième du genre après de celles de 2001 (Man) et 2002 (N’zérékoré, Guinée).
« Alors que le processus était bien lancé et que les parties ivoirienne, guinéenne et libérienne étaient déterminées à signer un accord cadre sur la conservation durable et tri nationale des Monts Nimba, survint en septembre 2002 en Côte d’Ivoire une crise militaro-politique. Ainsi, les contacts ont été interrompus entre les responsables de nos trois pays », a expliqué le directeur général de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), colonel Tolossama Adama.
« Avec la normalisation de la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire, je suis d’ores et déjà convaincu que cela va susciter un débat riche en résolutions visant à une gestion plus rationnelle de ce massif montagneux », a-t-il ajouté.
Zone protégée constituant un site privilégié pour la conservation de la diversité biologique la réserve nationale intégrale du mont Nimba a une superficie de 17 000 hectares qui s’étendent sur la Guinée, le Libéria et la Côte d’Ivoire. Malgré son statut de réserve intégrale, cette zone naturelle voit chaque jour ses écosystèmes menacés par diverses actions conjuguées.