Les femmes ne veulent plus être reléguées au second plan et subir les dommages de la société. Raison pour laquelle le Partenariat stratégique pour la paix en Afrique (Paspa) a organisé, en collaboration avec le Réseau d’action sur les armes légère en Afrique de l’Ouest (Rasalao), une conférence publique, le 10 décembre dernier, à Yopougon. Objectif, dire stop à la violence faite à la femme en général et en situation de conflit en particulier.
Pauline Yao, coordinatrice régionale du Paspa, a saisi l’opportunité pour expliquer les dangers que risque une femme n’ayant aucune notion concernant ses droits. C’est donc pour mettre un terme à cette ignorance que le Paspa est passé à la phase pratique en apportant un enseignement plus simplifié selon les réalités du milieu. Plusieurs séances de formation se sont succédé pour instruire les femmes sur leurs droits, avant de les inviter à être des actrices de la paix auprès des hommes.
« Nous sommes dans une autre période électorale, et nous, femmes, devons être les guides des hommes de sorte à les amener à faire une élection dans un climat de paix », a-t-elle indiqué. Pour le Paspa, il est temps de sortir la gent féminine de la léthargie afin de la mettre au même niveau que l’homme. Nahouala Soro, point focal des violences sexuelles au niveau de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci) a, pour sa part, expliqué la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies, la déclaration solennelle de la Côte d’Ivoire sur l’égalité des chances, l’équité et le genre ainsi que la Résolution 1820 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui condamne tout auteur de viol à une peine d’emprisonnement. Le Paspa, organisation autrichienne née en 2005, se donne pour mission d’amener les hommes à vivre ensemble et à s’accepter malgré leurs différences.
O.T. (stagiaire
Pauline Yao, coordinatrice régionale du Paspa, a saisi l’opportunité pour expliquer les dangers que risque une femme n’ayant aucune notion concernant ses droits. C’est donc pour mettre un terme à cette ignorance que le Paspa est passé à la phase pratique en apportant un enseignement plus simplifié selon les réalités du milieu. Plusieurs séances de formation se sont succédé pour instruire les femmes sur leurs droits, avant de les inviter à être des actrices de la paix auprès des hommes.
« Nous sommes dans une autre période électorale, et nous, femmes, devons être les guides des hommes de sorte à les amener à faire une élection dans un climat de paix », a-t-elle indiqué. Pour le Paspa, il est temps de sortir la gent féminine de la léthargie afin de la mettre au même niveau que l’homme. Nahouala Soro, point focal des violences sexuelles au niveau de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci) a, pour sa part, expliqué la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies, la déclaration solennelle de la Côte d’Ivoire sur l’égalité des chances, l’équité et le genre ainsi que la Résolution 1820 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui condamne tout auteur de viol à une peine d’emprisonnement. Le Paspa, organisation autrichienne née en 2005, se donne pour mission d’amener les hommes à vivre ensemble et à s’accepter malgré leurs différences.
O.T. (stagiaire
