Leurs travaux dans le domaine des sciences médicales ont été reconnus. Et les Pr Mireille Carmen Dosso, directeur de l’Institut pasteur de Côte d’Ivoire (Ipci), Rita Kakou Yao (Côte d'Ivoire) et cinq autres femmes scientifiques africaines dont une Camerounaise, deux Égyptiennes, deux Sud-Africaines ont reçu récemment au siège de l’Union Africaine à Addis-Abeba le Prix scientifique Kwame N’krumah. La remise des distinctions a eu lieu dans la continuité de la cérémonie de lancement officiel de l'Université panafricaine par le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Jean Ping.
A cette occasion, le Pr Mireille Dosso a, au nom de toutes les lauréates, exprimé sa joie de voir la communauté panafricaine ainsi couronner leurs carrières de scientifiques. «Ces récompenses montrent qu'il est possible de compter sur les femmes pour relever les défis du développement scientifique en Afrique. C'est aussi la preuve que la femme africaine est capable de mener une carrière dans le domaine de la science et contribuer à la résolution des défis qui se posent au continent», a-t-elle souligné.
Lui emboitant le pas, Albertine Ewono, conseillère à l'ambassade du Congo en Éthiopie, et représentant la mission diplomatique congolaise a été très brève : « Je constate avec plaisir que la femme, qui jadis devait rester à la maison, est aujourd'hui présente dans toutes les sphères d’activité. Je suis fière de voir que mes sœurs ont mérité leurs récompenses». Selon différents intervenants dont le Pr Jean-Pierre O. Ezin, commissaire de l'UA en charge des Ressources humaines, de la science et la technologie, ces Africaines primées sont dans leurs pays respectifs des scientifiques dont l'expérience dans leurs domaines d'activité est internationalement reconnue.
Notons que le Prix scientifique Kwame N’krumah a été lancé en 2008 par la Commission de l'UA, en collaboration avec l'Union européenne, l'Académie des sciences du monde en développement et la Banque africaine de développement. Il distingue des chercheurs africains dans trois catégories: au plan national, les jeunes chercheurs ; au plan régional, les femmes scientifiques; au niveau continental, tous les scientifiques.
T.Y
A cette occasion, le Pr Mireille Dosso a, au nom de toutes les lauréates, exprimé sa joie de voir la communauté panafricaine ainsi couronner leurs carrières de scientifiques. «Ces récompenses montrent qu'il est possible de compter sur les femmes pour relever les défis du développement scientifique en Afrique. C'est aussi la preuve que la femme africaine est capable de mener une carrière dans le domaine de la science et contribuer à la résolution des défis qui se posent au continent», a-t-elle souligné.
Lui emboitant le pas, Albertine Ewono, conseillère à l'ambassade du Congo en Éthiopie, et représentant la mission diplomatique congolaise a été très brève : « Je constate avec plaisir que la femme, qui jadis devait rester à la maison, est aujourd'hui présente dans toutes les sphères d’activité. Je suis fière de voir que mes sœurs ont mérité leurs récompenses». Selon différents intervenants dont le Pr Jean-Pierre O. Ezin, commissaire de l'UA en charge des Ressources humaines, de la science et la technologie, ces Africaines primées sont dans leurs pays respectifs des scientifiques dont l'expérience dans leurs domaines d'activité est internationalement reconnue.
Notons que le Prix scientifique Kwame N’krumah a été lancé en 2008 par la Commission de l'UA, en collaboration avec l'Union européenne, l'Académie des sciences du monde en développement et la Banque africaine de développement. Il distingue des chercheurs africains dans trois catégories: au plan national, les jeunes chercheurs ; au plan régional, les femmes scientifiques; au niveau continental, tous les scientifiques.
T.Y
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