Pour qu’une action puisse aboutir, l’ordonnateur et l’exécutant doivent être sur la même longueur d’onde. Ils doivent avoir les mêmes idéaux, avec en point de mire, un objectif commun de résultat. Allant dans la même direction, leurs actions aboutiront alors sur la qualité totale. A l’analyse, Ado et Diby sont deux sommités aux nombreux points convergents vers un même but, l’émergence de la Côte d’Ivoire. Sur le plan national, ils ont été respectivement là, pendant les moments les plus dures de la vie économique nationale. Alassane de 1989 à 1993. Point n’est besoin de revenir sur ses actes, qui ont permis au pays de résister au printemps démocratique qui sévissait. Diby, quant à lui, marquera à jamais la conscience de ses compatriotes, et pour cause! Pour que la Côte d’Ivoire survive à la crise et malgré le risque de ne pas être écouté, il a réussi l’exploit : L’admission du pays à l’initiative Ppte. Sauf cataclysme de dernière minute, la Côte d’ivoire atteindra le point d’achèvement en mai 2012. Au sein de jet financière international. Ado et Diby sont aussi les personnalités ivoiriennes les plus en vue. L’un a été DGA du Fmi au chevet de 102 pays, et gouverneur de la BCEAO. Quant bien même il a décidé d’intégrer la vie politique de son pays, Alassane, c’est de lui qu’il s’agit, demeure consultant permanent des institutions de Breton Wood. Diby, quant à lui, a été élu deux fois de suite Meilleur ministre africain des finances. D’abord par The Banker magasine, propriété du célébrissime Financial Time. Ensuite par Emerging Market, cet autre revue économique Londonienne non moins importante. L’honorable Diby a présidé le Conseil des ministres de l’Uemoa, ainsi que le Conseil d’Administration de la Banque Internationale de Développement de la Cedeao ‘‘BIDC’’ et de Air Ivoire. Alors que le pays était balkanisé en autant de portion que de téméraire, Charles Diby a stabilisé les finances publiques nationales, chose reconnue et maintes fois affirmée par les observateurs internationaux. En commun, Diby et son maître ont surtout en commun la recherche de la qualité totale, à travers le travail bien fait. En somme, le N°1 Ivoirien et son ministre de l’économie et des finances constituent pour la Côte d’Ivoire, une chance pour son émergence.
DF
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