Le processus de réconciliation prôné par le Président Ouattara est en marche. Et ce, malgré la réticence du Front Populaire Ivoire (FPI. Pour que ce processus ne soit pas ‘’grippé’, des Ivoiriens ont bien voulu donner leur avis
Koue-Bi (Etudiant –chercheur) : «Le pourvoir doit écouter tous ceux qui se plaignent»
«Pour une réconciliation vraie et sincère, il y a lieu d’associer toutes les couches. Il y a d’un côté le réconciliateur et de l’autre, ceux qui se plaignent. Il faut les écouter jusqu’au bout. Il faut aller auprès d’eux pour recueillir leurs demandes. Et comprendre les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Ne nous limitons pas seulement au FPI, il s’agit d’écouter tous ceux qui se plaignent.
Doumbia Ben (Entrepreneur et expert en toiture) : «Il faut continuer à négocier»
La réconciliation doit être vraie. Il ne faudrait pas qu’il y ait un faux-fuyant. C'est-à-dire qu’il faut pardonner. Il faut regarder désormais devant nous. Le pourvoir doit continuer à négocier. Et arrêtons les querelles politiciennes qui ne nous amèneront nulle part. On doit associer le FPI. Le Président de la République l’a déjà fait. Il a lui même invité le FPI à s’inscrire dans le processus de réconciliation.
Jules Paul Eric Latt «Continuer à tendre la main au FPI»
«Je pense sincèrement que le Président de la République doit continuer à tendre la main au FPI. Lui-même a souffert et il a été victime d’injustice pendant des années. Etant entendu qu’il est actuellement le chef de l’Etat, il doit faire table rase sur tout ce qui s’est passé et réconcilier les Ivoiriens. Qu’il fasse violence sur lui-même et qu’il continue de dialoguer et de négocier avec le FPI.
Daniel Bayé (Auditeur) : « Il faut tendre la main à tous les Ivoiriens»
«Le pouvoir doit négocier avec le FPI. Car il s’agit de l’intérêt de la Côte d’Ivoire. En tant qu’Houphouétiste, il faut effectivement tendre la main à tous les Ivoiriens. Il faut pardonner à nos frères qui ont commis des erreurs mais il faut d’abord les amener à reconnaître leur tort. Ce pays doit être rebâti comme le Père Fondateur de la Nation Ivoirienne l’a fait. Il faut tendre la main à tous les Ivoiriens»
Mlle Konan Dorgelès (Etudiante) : «Rassembler et accepter tout le monde»
Le pouvoir en place doit continuer à négocier avec le FPI pour parvenir à une réconciliation vraie. Et ce, pour qu’on arrive rapidement à une paix durable. Une fois la paix retrouvée nous, étudiants, nous aurons la possibilité de poursuivre sereinement nos études. Que le Président Ouattara pardonne à tous ceux qui l’ont offensé. Et qu’il soit rassembleur et accepte tout le monde»
Mlle Diomandé Nawa (Etudiant en Gestion Commercial) : «Si le FPI ne veut pas de la réconciliation qu’on le laisse tomber»
«Que le pouvoir continue de négocier avec le FPI. Mais si cette formation politique ne veut pas s’inscrire dans ce processus de réconciliation, qu’on la laisse tomber et qu’on passe à autre chose»
Aboua Jean-Noël (Société civile) : «Ménager tous les efforts pour négocier avec le FPI».
«Pour que la réconciliation soit vraie et sincère, il faut négocier avec l’opposition. Si nous voulons vraiment une réconciliation définitive, il faut que le pouvoir en place ne ménage aucun effort pour négocier avec le FPI».
Angoua Jean-Marie (Etudiant en Géographie) : «Tendre la main au FPI»
Nous devons tous cohabiter quelque soit les défauts des autres. Pour la bonne marche du pays, je pense que les nouvelles autorités sont obligées de continuer à tendre la main aux dirigeants du FPI».
Sira Christian (Etudiant) : «Négocier avec le FPI afin d’éviter les erreurs du passé»
«Le pouvoir doit négocier avec le FPI. Car la réconciliation suppose dans un premier temps, que les deux parties opposées s’asseyent et discutent pour éviter les erreurs du passé. Ensuite, reconnaître les erreurs puis les pardonner. Tant qu’il n’y aura pas de dialogue avec l’opposition, il ne peut y avoir de réconciliation sincère et vraie».
Kaba Vakaramoko (comptable de Profession) : «Ne pas se lasser de négocier»
«Naturellement, quand on parle de réconciliation, on parle forcément de développement. Et il ne peut y avoir de développement sans les fils et filles du pays. Les nouvelles autorités doivent continuer à discuter avec le FPI. Elles ne doivent jamais se lasser de négocier avec ce parti politique».
Mlle Sylla Mariam (Secrétaire de Direction) : «La réconciliation n’a pas de prix»
La réconciliation n’a pas de prix. Il faut continuer à discuter avec le FPI. Nous sommes tous des Ivoiriens. Nous avons des frères et sœurs qui sont militants du FPI. Il faut continuer le dialogue avec eux».
Eugène Mahé (Agent de Santé Chu de Yopougon )
«Le pouvoir a fait ce qu’il pouvait faire. Il faut par ailleurs que le FPI comprenne que la guerre est terminée. Toutefois, le parti au pouvoir peut toujours continuer à discuter avec eux. Les dirigeants du FPI sont des Ivoiriens. Ils n’iront nulle part. Si le pouvoir doit passer plus de temps avec cette formation politique pour qu’elle rentre dans les rangs, il faut le faire»
Anzoumana Cissé
Koue-Bi (Etudiant –chercheur) : «Le pourvoir doit écouter tous ceux qui se plaignent»
«Pour une réconciliation vraie et sincère, il y a lieu d’associer toutes les couches. Il y a d’un côté le réconciliateur et de l’autre, ceux qui se plaignent. Il faut les écouter jusqu’au bout. Il faut aller auprès d’eux pour recueillir leurs demandes. Et comprendre les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Ne nous limitons pas seulement au FPI, il s’agit d’écouter tous ceux qui se plaignent.
Doumbia Ben (Entrepreneur et expert en toiture) : «Il faut continuer à négocier»
La réconciliation doit être vraie. Il ne faudrait pas qu’il y ait un faux-fuyant. C'est-à-dire qu’il faut pardonner. Il faut regarder désormais devant nous. Le pourvoir doit continuer à négocier. Et arrêtons les querelles politiciennes qui ne nous amèneront nulle part. On doit associer le FPI. Le Président de la République l’a déjà fait. Il a lui même invité le FPI à s’inscrire dans le processus de réconciliation.
Jules Paul Eric Latt «Continuer à tendre la main au FPI»
«Je pense sincèrement que le Président de la République doit continuer à tendre la main au FPI. Lui-même a souffert et il a été victime d’injustice pendant des années. Etant entendu qu’il est actuellement le chef de l’Etat, il doit faire table rase sur tout ce qui s’est passé et réconcilier les Ivoiriens. Qu’il fasse violence sur lui-même et qu’il continue de dialoguer et de négocier avec le FPI.
Daniel Bayé (Auditeur) : « Il faut tendre la main à tous les Ivoiriens»
«Le pouvoir doit négocier avec le FPI. Car il s’agit de l’intérêt de la Côte d’Ivoire. En tant qu’Houphouétiste, il faut effectivement tendre la main à tous les Ivoiriens. Il faut pardonner à nos frères qui ont commis des erreurs mais il faut d’abord les amener à reconnaître leur tort. Ce pays doit être rebâti comme le Père Fondateur de la Nation Ivoirienne l’a fait. Il faut tendre la main à tous les Ivoiriens»
Mlle Konan Dorgelès (Etudiante) : «Rassembler et accepter tout le monde»
Le pouvoir en place doit continuer à négocier avec le FPI pour parvenir à une réconciliation vraie. Et ce, pour qu’on arrive rapidement à une paix durable. Une fois la paix retrouvée nous, étudiants, nous aurons la possibilité de poursuivre sereinement nos études. Que le Président Ouattara pardonne à tous ceux qui l’ont offensé. Et qu’il soit rassembleur et accepte tout le monde»
Mlle Diomandé Nawa (Etudiant en Gestion Commercial) : «Si le FPI ne veut pas de la réconciliation qu’on le laisse tomber»
«Que le pouvoir continue de négocier avec le FPI. Mais si cette formation politique ne veut pas s’inscrire dans ce processus de réconciliation, qu’on la laisse tomber et qu’on passe à autre chose»
Aboua Jean-Noël (Société civile) : «Ménager tous les efforts pour négocier avec le FPI».
«Pour que la réconciliation soit vraie et sincère, il faut négocier avec l’opposition. Si nous voulons vraiment une réconciliation définitive, il faut que le pouvoir en place ne ménage aucun effort pour négocier avec le FPI».
Angoua Jean-Marie (Etudiant en Géographie) : «Tendre la main au FPI»
Nous devons tous cohabiter quelque soit les défauts des autres. Pour la bonne marche du pays, je pense que les nouvelles autorités sont obligées de continuer à tendre la main aux dirigeants du FPI».
Sira Christian (Etudiant) : «Négocier avec le FPI afin d’éviter les erreurs du passé»
«Le pouvoir doit négocier avec le FPI. Car la réconciliation suppose dans un premier temps, que les deux parties opposées s’asseyent et discutent pour éviter les erreurs du passé. Ensuite, reconnaître les erreurs puis les pardonner. Tant qu’il n’y aura pas de dialogue avec l’opposition, il ne peut y avoir de réconciliation sincère et vraie».
Kaba Vakaramoko (comptable de Profession) : «Ne pas se lasser de négocier»
«Naturellement, quand on parle de réconciliation, on parle forcément de développement. Et il ne peut y avoir de développement sans les fils et filles du pays. Les nouvelles autorités doivent continuer à discuter avec le FPI. Elles ne doivent jamais se lasser de négocier avec ce parti politique».
Mlle Sylla Mariam (Secrétaire de Direction) : «La réconciliation n’a pas de prix»
La réconciliation n’a pas de prix. Il faut continuer à discuter avec le FPI. Nous sommes tous des Ivoiriens. Nous avons des frères et sœurs qui sont militants du FPI. Il faut continuer le dialogue avec eux».
Eugène Mahé (Agent de Santé Chu de Yopougon )
«Le pouvoir a fait ce qu’il pouvait faire. Il faut par ailleurs que le FPI comprenne que la guerre est terminée. Toutefois, le parti au pouvoir peut toujours continuer à discuter avec eux. Les dirigeants du FPI sont des Ivoiriens. Ils n’iront nulle part. Si le pouvoir doit passer plus de temps avec cette formation politique pour qu’elle rentre dans les rangs, il faut le faire»
Anzoumana Cissé