A 48 heures de son meeting de samedi à Yopougon, une délégation du FPI a rencontré le ministre d’Etat ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko. Selon leur porte-parole il a trouvé des solutions aux dernières difficultés. Ci-dessous les propos de Amani N’Guessan, porte-parole du FPI, et Lanciné Cissé, Directeur de cabinet adjoint chargé de la sécurité au ministère.
Q : Vous venez de rencontrer le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur. Est-ce qu’on peut avoir la teneur de vos discussions ?
Amani N’Guessan : Le Front populaire ivoirien a décidé d’organiser le meeting de sa rentrée politique le samedi 21 janvier 2012 à 10 heures. A ce sujet, au niveau des démarches administratives, il y avait quelques difficultés, pas au niveau du ministre d’Etat, mais au niveau de la commune. Aujourd’hui avec le maire de Yopougon et toute l’administration du ministère, le ministre d’Etat a bien voulu jouer le rôle du médiateur pour que nous puissions accorder nos violons. C’est ce que nous venons de faire. Je crois qu’en Côte d’Ivoire, la discussion permet toujours de s’entendre. Nous venons de dialoguer et enfin nous sommes tombés d’accord pour que le Front populaire ivoirien puisse organiser sa manifestation le samedi 21 janvier 2012. Je voudrais profiter de l’occasion pour dire un grand merci au ministre d’Etat, car en tant qu’un haut responsable de l’Etat, il agit en tant que tel et a trouvé une solution à un problème qui commençait à miner les relations entre le pouvoir et l’opposition à travers le FPI.
Q : Quelles étaient les difficultés?
A. N. : La difficulté est qu’au niveau de la place FICGAYO, le Maire avait quelques problèmes. Il y a un opérateur privé qui était déjà sur la place. Grâce à l’intervention du ministre de l’Etat, l’opérateur privé a accepté de se retirer à notre faveur.
Q : Quelles sont les garanties concernant la sécurisation ?
A. N. : Nous sommes dans la maison de la sécurisation. Le ministre a promis. Nous sommes ici sécurisés véritablement. Le ministre a promis la police, la gendarmerie pour la sécurisation comme cela se fait dans un Etat normal.
Et les FRCI ?
A. N. : Nous n’avons pas parlé des FRCI. Nous avons parlé de la gendarmerie et la police.
Lanciné Cissé (Directeur de cabinet adjoint)
“C’est autorisé”
«La manifestation est autorisée par le ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur. Le ministre a demandé aux forces de l’ordre, notamment à la police et à la gendarmerie d’encadrer et de sécuriser la manifestation. Donc tout est rentré dans l’ordre et il n’y aura pas de problème ».
Propos recueillis par K.I.
Q : Vous venez de rencontrer le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur. Est-ce qu’on peut avoir la teneur de vos discussions ?
Amani N’Guessan : Le Front populaire ivoirien a décidé d’organiser le meeting de sa rentrée politique le samedi 21 janvier 2012 à 10 heures. A ce sujet, au niveau des démarches administratives, il y avait quelques difficultés, pas au niveau du ministre d’Etat, mais au niveau de la commune. Aujourd’hui avec le maire de Yopougon et toute l’administration du ministère, le ministre d’Etat a bien voulu jouer le rôle du médiateur pour que nous puissions accorder nos violons. C’est ce que nous venons de faire. Je crois qu’en Côte d’Ivoire, la discussion permet toujours de s’entendre. Nous venons de dialoguer et enfin nous sommes tombés d’accord pour que le Front populaire ivoirien puisse organiser sa manifestation le samedi 21 janvier 2012. Je voudrais profiter de l’occasion pour dire un grand merci au ministre d’Etat, car en tant qu’un haut responsable de l’Etat, il agit en tant que tel et a trouvé une solution à un problème qui commençait à miner les relations entre le pouvoir et l’opposition à travers le FPI.
Q : Quelles étaient les difficultés?
A. N. : La difficulté est qu’au niveau de la place FICGAYO, le Maire avait quelques problèmes. Il y a un opérateur privé qui était déjà sur la place. Grâce à l’intervention du ministre de l’Etat, l’opérateur privé a accepté de se retirer à notre faveur.
Q : Quelles sont les garanties concernant la sécurisation ?
A. N. : Nous sommes dans la maison de la sécurisation. Le ministre a promis. Nous sommes ici sécurisés véritablement. Le ministre a promis la police, la gendarmerie pour la sécurisation comme cela se fait dans un Etat normal.
Et les FRCI ?
A. N. : Nous n’avons pas parlé des FRCI. Nous avons parlé de la gendarmerie et la police.
Lanciné Cissé (Directeur de cabinet adjoint)
“C’est autorisé”
«La manifestation est autorisée par le ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur. Le ministre a demandé aux forces de l’ordre, notamment à la police et à la gendarmerie d’encadrer et de sécuriser la manifestation. Donc tout est rentré dans l’ordre et il n’y aura pas de problème ».
Propos recueillis par K.I.