Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) dénonce une complicité dans les incidents survenus samedi, à la place Ficagayo où le parti de l’ex-parti Laurent Gbagbo, tenait son meeting de rentrée politique.
Dans une conférence de presse pour faire le bilan de ces violences, le président du comité d’organisation de la manifestation, Michel Amani N’Guessan, a pointé un doigt accusateur sur la mission onusienne en Côte d’Ivoire qui aurait soutenu des individus non identifiés pour attaquer les militants de l’opposition à cette manifestation politique.
"Tout a été planifié avec l’ONUCI (Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire) pour supprimer l’opposition significative", a affirmé Amani N’Guessan.
Pour l’ancien ministre de la Défense de Laurent Gbagbo, "la démocratie et l’Etat de droit triompheront en Côte d’Ivoire.
Faisant le bilan de ces incidents, le président du comité d’organisation a révélé un mort, 68 blessés et au moins 10 véhicules saccagés.
"Nous sommes confiants et Dieu nous aidera. Tout est une question de temps", a-t-il ajouté, avant d’annoncer que son parti ne baissera pas les bras.
"M. Ouattara (le chef de l’Etat veut empêcher la communauté internationale de voir la vérité en Côte d’Ivoire", a conclu Michel Amani N’Guessan entouré du président de la jeunesse du FPI (JFP), Koua Justin, et de la présidente des femmes de cette formation politique, Odette Lorougnon.
Samedi, Le chef de l`ONUCI a condamné "fermement" ces attaques et demandé aux autorités ivoiriennes de prendre des dispositions pour en identifier les auteurs et les traduire devant les juridictions comptéentes, rappelle-t-on.
(AIP)
kp
Dans une conférence de presse pour faire le bilan de ces violences, le président du comité d’organisation de la manifestation, Michel Amani N’Guessan, a pointé un doigt accusateur sur la mission onusienne en Côte d’Ivoire qui aurait soutenu des individus non identifiés pour attaquer les militants de l’opposition à cette manifestation politique.
"Tout a été planifié avec l’ONUCI (Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire) pour supprimer l’opposition significative", a affirmé Amani N’Guessan.
Pour l’ancien ministre de la Défense de Laurent Gbagbo, "la démocratie et l’Etat de droit triompheront en Côte d’Ivoire.
Faisant le bilan de ces incidents, le président du comité d’organisation a révélé un mort, 68 blessés et au moins 10 véhicules saccagés.
"Nous sommes confiants et Dieu nous aidera. Tout est une question de temps", a-t-il ajouté, avant d’annoncer que son parti ne baissera pas les bras.
"M. Ouattara (le chef de l’Etat veut empêcher la communauté internationale de voir la vérité en Côte d’Ivoire", a conclu Michel Amani N’Guessan entouré du président de la jeunesse du FPI (JFP), Koua Justin, et de la présidente des femmes de cette formation politique, Odette Lorougnon.
Samedi, Le chef de l`ONUCI a condamné "fermement" ces attaques et demandé aux autorités ivoiriennes de prendre des dispositions pour en identifier les auteurs et les traduire devant les juridictions comptéentes, rappelle-t-on.
(AIP)
kp