Abidjan - Pour moderniser leur pratique médicale et les rendre plus performants, le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle (PNPMT) renforce les capacités des praticiens de la médecine traditionnelle chinoise, du 23 janvier au 02 février, à l’Institut national de formation des agents de la santé (INFAS), à Abidjan.
Pour ce lundi, les participants ont été instruits sur l’exercice de la médecine traditionnelle chinoise, notamment ses enjeux et ses perspectives.
Selon Dr Kroa Ehoulé, le formateur, la médecine traditionnelle chinoise dispose d’atouts pour être davantage encadrée et affinée, et l’adapter au système de santé ivoirien.
Dans cette perspective, il a invité les tradi-praticiens de cette médecine à se conformer à la réglementation nationale.
Celle-ci leur enjoint, en effet, de disposer d’un praticien de la médecine moderne dans leur officine, a expliqué Dr Kroa Ehoulé.
Cette démarche, a-t-il ajouté, a l’avantage de concrétiser la "nécessaire collaboration" entre la médecine moderne et la médecine traditionnelle, en vue d’une meilleure prise en charge des malades.
Cet atelier de formation des acteurs de la médecine traditionnelle chinoise en Côte d’Ivoire est une initiative de l’Association nationale des acteurs de la médecine chinoise (ANADAMCI).
Elle se poursuit, mardi, avec l’intervention de la police sanitaire sur le rôle et l’importance de cette police dans le milieu de la médecine chinoise.
(aip)
Hb/kp
Pour ce lundi, les participants ont été instruits sur l’exercice de la médecine traditionnelle chinoise, notamment ses enjeux et ses perspectives.
Selon Dr Kroa Ehoulé, le formateur, la médecine traditionnelle chinoise dispose d’atouts pour être davantage encadrée et affinée, et l’adapter au système de santé ivoirien.
Dans cette perspective, il a invité les tradi-praticiens de cette médecine à se conformer à la réglementation nationale.
Celle-ci leur enjoint, en effet, de disposer d’un praticien de la médecine moderne dans leur officine, a expliqué Dr Kroa Ehoulé.
Cette démarche, a-t-il ajouté, a l’avantage de concrétiser la "nécessaire collaboration" entre la médecine moderne et la médecine traditionnelle, en vue d’une meilleure prise en charge des malades.
Cet atelier de formation des acteurs de la médecine traditionnelle chinoise en Côte d’Ivoire est une initiative de l’Association nationale des acteurs de la médecine chinoise (ANADAMCI).
Elle se poursuit, mardi, avec l’intervention de la police sanitaire sur le rôle et l’importance de cette police dans le milieu de la médecine chinoise.
(aip)
Hb/kp