ABIDJAN - Les Etats-Unis ont condamné "énergiquement" lundi l`attaque de jeunes ce week-end à Abidjan contre un meeting de partisans de l`ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, qui a fait un mort, et ont réclamé une enquête.
Le gouvernement américain "condamne énergiquement la violence survenue au cours du rassemblement du FPI (Front populaire ivoirien)" samedi dans un quartier d`Abidjan, indique un communiqué publié par son ambassade en Côte d`Ivoire.
"La violence est un obstacle inacceptable au progrès en cours" dans le pays, jugent les Etats-Unis, demandant au gouvernement ivoirien "d`ouvrir une enquête complète et impartiale et de prendre les mesures nécessaires pour éviter que pareils incidents ne se répètent".
La secrétaire d`Etat américaine Hillary Clinton a effectué une visite les 16 et 17 janvier dernier à Abidjan et a appelé le régime du président Alassane Ouattara au "dialogue" avec l`opposition.
Lundi dans un communiqué, la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), une importante ONG, a aussi demandé "une enquête effective et crédible sur cette énième perturbation de meetings".
Elle "invite tous les acteurs de la scène politique ivoirienne à s`abstenir d`attitudes ou comportements de nature à compromettre la fragile réconciliation nationale en cours en Côte d`Ivoire".
Une personne a été tuée et au moins 45 blessées samedi lors de l`attaque d`un meeting FPI par des jeunes, un rassemblement finalement annulé.
L`ex-parti au pouvoir a accusé des pro-Ouattara d`être responsables des violences.
M. Gbagbo a été arrêté en avril 2011 après quatre mois de crise, dont deux semaines de guerre, née de son refus de reconnaître sa défaite à l`élection de novembre 2010. La crise a fait quelque 3.000 morts.
Le gouvernement américain "condamne énergiquement la violence survenue au cours du rassemblement du FPI (Front populaire ivoirien)" samedi dans un quartier d`Abidjan, indique un communiqué publié par son ambassade en Côte d`Ivoire.
"La violence est un obstacle inacceptable au progrès en cours" dans le pays, jugent les Etats-Unis, demandant au gouvernement ivoirien "d`ouvrir une enquête complète et impartiale et de prendre les mesures nécessaires pour éviter que pareils incidents ne se répètent".
La secrétaire d`Etat américaine Hillary Clinton a effectué une visite les 16 et 17 janvier dernier à Abidjan et a appelé le régime du président Alassane Ouattara au "dialogue" avec l`opposition.
Lundi dans un communiqué, la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), une importante ONG, a aussi demandé "une enquête effective et crédible sur cette énième perturbation de meetings".
Elle "invite tous les acteurs de la scène politique ivoirienne à s`abstenir d`attitudes ou comportements de nature à compromettre la fragile réconciliation nationale en cours en Côte d`Ivoire".
Une personne a été tuée et au moins 45 blessées samedi lors de l`attaque d`un meeting FPI par des jeunes, un rassemblement finalement annulé.
L`ex-parti au pouvoir a accusé des pro-Ouattara d`être responsables des violences.
M. Gbagbo a été arrêté en avril 2011 après quatre mois de crise, dont deux semaines de guerre, née de son refus de reconnaître sa défaite à l`élection de novembre 2010. La crise a fait quelque 3.000 morts.