Un mort, environ 45 blessés et d’importants dégâts matériels. Voilà le triste bilan de l’attaque du meeting du Front Populaire Ivoirien (FPI) organisé le samedi 21 janvier 2012 à la Place FICGAYO de Yopougon.
Autorisé par le Ministre de l’Intérieur, ce meeting du FPI a été violemment attaqué par des jeunes se réclamant du Parti au pouvoir, le Rassemblement Des Républicains (RDR), en dépit d’un impressionnant dispositif de sécurité composé de policiers et gendarmes ivoiriens et de soldats de l’Opération des Nations-Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Cette agression fait suite aux attaques des meetings du même parti à Koumassi, Bonoua et Port-bouet, il y a quelques mois.
La LIDHO condamne cette barbarie d’une autre époque et dénonce l’inaction des forces de sécurité en présence devant la furie des agresseurs.
Rappelant l’engagement de l’Etat à garantir la liberté d’opinion et de manifestation, la LIDHO demande au Gouvernement de Côte d’Ivoire d’agir avec diligence en vue de prévenir et réprimer de tels actes et préserver les libertés civiles et politiques.
La LIDHO en appelle à la vigilance du peuple ivoirien et de l’Opération des Nations-Unies en Côte d’Ivoire face à ces atteintes aux libertés qui sont des facteurs susceptibles de saper le processus de réconciliation nationale en cours et créer les conditions d’un retour à la violence politique.
Autorisé par le Ministre de l’Intérieur, ce meeting du FPI a été violemment attaqué par des jeunes se réclamant du Parti au pouvoir, le Rassemblement Des Républicains (RDR), en dépit d’un impressionnant dispositif de sécurité composé de policiers et gendarmes ivoiriens et de soldats de l’Opération des Nations-Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI). Cette agression fait suite aux attaques des meetings du même parti à Koumassi, Bonoua et Port-bouet, il y a quelques mois.
La LIDHO condamne cette barbarie d’une autre époque et dénonce l’inaction des forces de sécurité en présence devant la furie des agresseurs.
Rappelant l’engagement de l’Etat à garantir la liberté d’opinion et de manifestation, la LIDHO demande au Gouvernement de Côte d’Ivoire d’agir avec diligence en vue de prévenir et réprimer de tels actes et préserver les libertés civiles et politiques.
La LIDHO en appelle à la vigilance du peuple ivoirien et de l’Opération des Nations-Unies en Côte d’Ivoire face à ces atteintes aux libertés qui sont des facteurs susceptibles de saper le processus de réconciliation nationale en cours et créer les conditions d’un retour à la violence politique.
