Agboville - La réouverture des internats dans les établissements secondaires publics de Côte d’Ivoire est souhaitée par le député suppléant Agboville-commune, Nago Mousso Lucas, qui l’a exprimé en marge de l’ouverture du séminaire de renforcement des capacités des directeurs régionaux et départementaux du ministère de l’Education nationale, lundi à Agboville (85 km d’Abidjan).
« On ne peut pas refaire une Côte d’Ivoire sans nouveau lycée, sans encadrement et surtout sans internat », a déclaré le député-suppléant. M. Nago s’est dit persuadé que le retour à l’environnement qui a prévalu il y a plusieurs décennies dans le milieu scolaire peut aider à relever le niveau de l’école et des apprenants.
Le député suppléant a souligné qu’il s’agit « d’un cri de cœur » des populations qu’il veut transmettre à l’autorité. Nado Lucas a expliqué que ce plaidoyer pour la réouverture des internats notamment, se justifie par la logique qui veut que pour qu’il y ait un progrès, la génération précédente donne à la suivante plus qu’elle n’en a reçu.
Nago Mousso Lucas a déploré les taux d’échecs élevés au concours et examens à grand tirage organisés en Côte d’Ivoire, depuis quelques années. Il a jugé inacceptable ces taux d’échecs et a émis son souhait de les ressources humaines se mettent au travail et que les familles assument leurs responsabilités.
Le parlementaire a reconnu que les parents d’élèves ont dans l’ensemble failli. « Globalement, les parents que nous sommes, sommes tous responsables », a affirmé le député qui a rappelé que la responsabilité première des enfants incombe aux parents. Il a exhorté les partenaires de l’école à mener des réflexions profondes afin que l’Etat puisse envisager de dégager des moyens.
Le séminaire s’inscrit dans la continuité des actions que mène le gouvernement depuis huit ans, a dit le député suppléant. Il a précisé que les parties doivent échanger et que dans tous les secteurs, les soldats du développement sont présents.
M. Nago a salué les actions d’envergure menées sur le terrain par la ministre Kandia Camara pour réfléchir et arrêter des matrices d’actions, de sorte que l’école retrouve ses lettres de noblesse. Dans tous les secteurs, « les soldats du développement se sont levés » et cela montre que le pays est véritablement en marche, a déclaré le député suppléant.
Le séminaire qui réunit, pour quatre jours à Agboville, les directeurs régionaux et départementaux de l’Education, prend fin jeudi.
« On ne peut pas refaire une Côte d’Ivoire sans nouveau lycée, sans encadrement et surtout sans internat », a déclaré le député-suppléant. M. Nago s’est dit persuadé que le retour à l’environnement qui a prévalu il y a plusieurs décennies dans le milieu scolaire peut aider à relever le niveau de l’école et des apprenants.
Le député suppléant a souligné qu’il s’agit « d’un cri de cœur » des populations qu’il veut transmettre à l’autorité. Nado Lucas a expliqué que ce plaidoyer pour la réouverture des internats notamment, se justifie par la logique qui veut que pour qu’il y ait un progrès, la génération précédente donne à la suivante plus qu’elle n’en a reçu.
Nago Mousso Lucas a déploré les taux d’échecs élevés au concours et examens à grand tirage organisés en Côte d’Ivoire, depuis quelques années. Il a jugé inacceptable ces taux d’échecs et a émis son souhait de les ressources humaines se mettent au travail et que les familles assument leurs responsabilités.
Le parlementaire a reconnu que les parents d’élèves ont dans l’ensemble failli. « Globalement, les parents que nous sommes, sommes tous responsables », a affirmé le député qui a rappelé que la responsabilité première des enfants incombe aux parents. Il a exhorté les partenaires de l’école à mener des réflexions profondes afin que l’Etat puisse envisager de dégager des moyens.
Le séminaire s’inscrit dans la continuité des actions que mène le gouvernement depuis huit ans, a dit le député suppléant. Il a précisé que les parties doivent échanger et que dans tous les secteurs, les soldats du développement sont présents.
M. Nago a salué les actions d’envergure menées sur le terrain par la ministre Kandia Camara pour réfléchir et arrêter des matrices d’actions, de sorte que l’école retrouve ses lettres de noblesse. Dans tous les secteurs, « les soldats du développement se sont levés » et cela montre que le pays est véritablement en marche, a déclaré le député suppléant.
Le séminaire qui réunit, pour quatre jours à Agboville, les directeurs régionaux et départementaux de l’Education, prend fin jeudi.
