«Extraordinaire!» «Historique!» «Remarquable!». Que de vocabulaire mélioratif pour une visite d’Etat. Une nouvelle page est vraiment tournée. Le pays de Félix Houphouët-Boigny redevient ce qu’il n’aurait jamais cessé d’être: une Nation respectée et enviée. Pendant trois jours -du 25 au 27 janvier-, Paris a respiré aux couleurs de la Côte d’Ivoire et à travers drapeaux et hymne national: l’Abidjanaise.
Spectacle grandeur nature pour le Président de la République, Alassane Ouattara et son épouse Dominique Ouattara. L’Etat français a mis les petits plats dans les grands. Le décor est planté dès l’arrivée du chef de l’Etat ivoirien à l’aéroport Orly de Paris. Honneurs militaires et surtout mise à la disposition du couple présidentiel de l’hélicoptère VIP du chef de l’Etat français (quelque chose pas courant, selon des proches de l’Elysée) et deux autres hélicoptères pour relier Orly-Paris plus précisément l’esplanade des Invalides.
Et là, attendait un peloton de chevaux, 194 au total, pour parader avec les illustres hôtes. Un spectacle comme en ont droit les plus illustres des royaumes. Imaginez la scène pleine d’émotions. La totale aura été le rendez-vous sur l’Arc de triomphe en compagnie de Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Francophonie.
La délégation a le temps de voir avec fierté, flotter le drapeau ivoirien d’un bout à l’autre sur les champs Elysées. Le boulevard coupé à la circulation une heure et demie avant, créant ainsi six heures d’embouteillages. «Depuis ma carrière de photographe, depuis 1972 à Paris, cet accueil, c’est du jamais vu pour un pays et un chef d’Etat africain. C’est historique!», s’est exclamé Koné Mamadou dit Koné Super, photographe abonné des grands rendez-vous africains dans la capitale française.
A la mairie de Paris comme à Matignon, aucun détail n’a été négligé pour l’hôte de marque. L’ambassadeur Haïdara Eugène, ancien locataire de la chancellerie à l’avenue Raymond Poincaré, très ému devant tant d’honneurs a lâché: «C’est extraordinaire!». «Une remarquable visite», conclut pour sa part le secrétaire général de la Présidence, Amadou Gon Coulibaly. En tout cas, les témoins de ces trois jours inoubliables les conteront pendant encore longtemps. Il y’avait de quoi à être fier d’être Ivoirien.
Coulibaly Brahima à Paris
Spectacle grandeur nature pour le Président de la République, Alassane Ouattara et son épouse Dominique Ouattara. L’Etat français a mis les petits plats dans les grands. Le décor est planté dès l’arrivée du chef de l’Etat ivoirien à l’aéroport Orly de Paris. Honneurs militaires et surtout mise à la disposition du couple présidentiel de l’hélicoptère VIP du chef de l’Etat français (quelque chose pas courant, selon des proches de l’Elysée) et deux autres hélicoptères pour relier Orly-Paris plus précisément l’esplanade des Invalides.
Et là, attendait un peloton de chevaux, 194 au total, pour parader avec les illustres hôtes. Un spectacle comme en ont droit les plus illustres des royaumes. Imaginez la scène pleine d’émotions. La totale aura été le rendez-vous sur l’Arc de triomphe en compagnie de Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Francophonie.
La délégation a le temps de voir avec fierté, flotter le drapeau ivoirien d’un bout à l’autre sur les champs Elysées. Le boulevard coupé à la circulation une heure et demie avant, créant ainsi six heures d’embouteillages. «Depuis ma carrière de photographe, depuis 1972 à Paris, cet accueil, c’est du jamais vu pour un pays et un chef d’Etat africain. C’est historique!», s’est exclamé Koné Mamadou dit Koné Super, photographe abonné des grands rendez-vous africains dans la capitale française.
A la mairie de Paris comme à Matignon, aucun détail n’a été négligé pour l’hôte de marque. L’ambassadeur Haïdara Eugène, ancien locataire de la chancellerie à l’avenue Raymond Poincaré, très ému devant tant d’honneurs a lâché: «C’est extraordinaire!». «Une remarquable visite», conclut pour sa part le secrétaire général de la Présidence, Amadou Gon Coulibaly. En tout cas, les témoins de ces trois jours inoubliables les conteront pendant encore longtemps. Il y’avait de quoi à être fier d’être Ivoirien.
Coulibaly Brahima à Paris