Des menuiseries installées ici et là dans le quartier Yopougon-gare ont rendu la vie des riverains de cette zone invivable. En effet, la poudre du bois raboté envahit chaque jour, le quartier et gène considérablement les populations, qui se plaignent de vivre dans une atmosphère malsaine. Autre fait, un petit commerce est en train de se développer autour de l’activité des menuisiers. Des jeunes filles viennent chercher cette poudre de bois, qu’elles revendent par la suite pour servir au feu de cuisine. Par ailleurs, l’insalubrité commence aussi à prendre de l’ampleur du fait des ordures que produisent ces menuiseries. Il faut noter que c’est depuis belle lurette que les populations pataugent dans ce milieu insalubre. Par ailleurs les menuisiers utilisent des machines qui produisent des bruits assourdissant. « Depuis que nous sommes dans ce quartier, nous vivons avec le bruit des machines qu’utilisent les menuisiers.
Ce qui nous cause souvent des maladies auditives. Ces menuisiers règnent en maitres. Ce qui nous gène le plus, c’est que les propriétaires de ces petites entreprises se plaisent à laisser tourner leurs machines jusqu’à des heures tardives de la nuit. Nous demandons au maire de Yopougon, Yao Yao Bertin de les déguerpir de notre quartier», martèle Sidibé Fatoumata, une résidente du quartier. A Yopougon gare, la qualité des rues laissent aussi à désirer. Les voies ne sont pas bitumées et les automobilistes éprouvent bien du mal à circuler à travers ce quartier.
Fofana Zoumana (stagiaire)
Ce qui nous cause souvent des maladies auditives. Ces menuisiers règnent en maitres. Ce qui nous gène le plus, c’est que les propriétaires de ces petites entreprises se plaisent à laisser tourner leurs machines jusqu’à des heures tardives de la nuit. Nous demandons au maire de Yopougon, Yao Yao Bertin de les déguerpir de notre quartier», martèle Sidibé Fatoumata, une résidente du quartier. A Yopougon gare, la qualité des rues laissent aussi à désirer. Les voies ne sont pas bitumées et les automobilistes éprouvent bien du mal à circuler à travers ce quartier.
Fofana Zoumana (stagiaire)