Agboville - L’inspecteur général, coordonnateur général de l’inspection générale du ministère de l’Education nationale, Kourouma Ibrahima a annoncé mardi à Agboville (85 km d’Abidjan), en marge de l’ouverture de l’atelier de réflexion au sein dudit ministère portant sur les conditions de réussite de l’introduction des TIC à l’école, que toutes les salles de classes des établissements scolaires ivoiriens seront équipés en matériels informatique, dans un délai de trois ans.
« D’ici trois ans, nous aurons l’informatique dans les salles de classes comme support pédagogique », a fait savoir l’inspecteur général. Il a indiqué que cette échéance devrait coïncider avec l’objectif d’avoir de meilleurs résultats scolaires, tel que fixé par le ministère, avec les réformes apportées.
M. Kourouma a demandé l’implication absolue des parents qui sont appelés à renoncer à la facilité et à la tricherie. Selon lui, le projet bénéficie maintenant de « l’engagement manifeste » des autorités ivoiriennes. Il ne reste plus qu’aux techniciens, à mettre en œuvre l’intention. « Nous avons l’appui et le soutien de l’action politique », a rassuré le coordonnateur général qui a fait remarquer que le politique lui-même veut que l’on développe l’informatique à l’école.
« Le ministère des TIC (technologies de l’information et de la communication, ndlr) est prêt, plus pressé que nous », a souligné l’inspecteur, avant d’ajouter que le ministère de l’Education nationale a fait le choix d’une politique des établissements pilotes en 2012. « Cette année, nous débutons avec des établissements pilotes qui nous permettront de corriger au fur et à mesure les imperfections, avant d’aller vers une extension nationale », a-t-il indiqué.
Le coordonnateur général a expliqué que le projet de gouvernance électronique à l’école, ‘E-Education’, est l’introduction des TIC au sein de l’administration scolaire pour la gestion au quotidien, mais aussi comme appui au support à l’enseignement et à l’apprentissage. « Si vous voulez avoir un bon rendement, il faut jouer sur les deux leviers », a-t-il fait observer. Il a noté que les TIC aideront à la gestion du point de vue des emplois du temps et des pièces périodiques dans les établissements, mais aussi contribueront à améliorer les résultats scolaires de l’élève.
L’atelier a bénéficié de l’expérience des enseignants de l’Ecole militaire préparatoire technique (EMPT) de Bingerville, ainsi que du lycée français Blaise Pascal d’Abidjan. Ces derniers ont partagé leurs expériences respectives en matière d’intégration pédagogique des TIC.
(AIP)
dd/cmas
« D’ici trois ans, nous aurons l’informatique dans les salles de classes comme support pédagogique », a fait savoir l’inspecteur général. Il a indiqué que cette échéance devrait coïncider avec l’objectif d’avoir de meilleurs résultats scolaires, tel que fixé par le ministère, avec les réformes apportées.
M. Kourouma a demandé l’implication absolue des parents qui sont appelés à renoncer à la facilité et à la tricherie. Selon lui, le projet bénéficie maintenant de « l’engagement manifeste » des autorités ivoiriennes. Il ne reste plus qu’aux techniciens, à mettre en œuvre l’intention. « Nous avons l’appui et le soutien de l’action politique », a rassuré le coordonnateur général qui a fait remarquer que le politique lui-même veut que l’on développe l’informatique à l’école.
« Le ministère des TIC (technologies de l’information et de la communication, ndlr) est prêt, plus pressé que nous », a souligné l’inspecteur, avant d’ajouter que le ministère de l’Education nationale a fait le choix d’une politique des établissements pilotes en 2012. « Cette année, nous débutons avec des établissements pilotes qui nous permettront de corriger au fur et à mesure les imperfections, avant d’aller vers une extension nationale », a-t-il indiqué.
Le coordonnateur général a expliqué que le projet de gouvernance électronique à l’école, ‘E-Education’, est l’introduction des TIC au sein de l’administration scolaire pour la gestion au quotidien, mais aussi comme appui au support à l’enseignement et à l’apprentissage. « Si vous voulez avoir un bon rendement, il faut jouer sur les deux leviers », a-t-il fait observer. Il a noté que les TIC aideront à la gestion du point de vue des emplois du temps et des pièces périodiques dans les établissements, mais aussi contribueront à améliorer les résultats scolaires de l’élève.
L’atelier a bénéficié de l’expérience des enseignants de l’Ecole militaire préparatoire technique (EMPT) de Bingerville, ainsi que du lycée français Blaise Pascal d’Abidjan. Ces derniers ont partagé leurs expériences respectives en matière d’intégration pédagogique des TIC.
(AIP)
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