Chères lectrices, chers lecteurs,
Je m’en allais, comme annoncé dans "Le Nouveau Réveil" d’hier, vendredi 17 février 2012, pour la première fois, certainement, prendre mon stylo pour faire des mises au point, suite à la sortie injurieuse du petit Kouadio Konan Bertin dit KKB, le président sortant, voire sorti, de la Jpdci, lors de sa conférence de presse du jeudi 16 février 2012 à la Maison du parti à Cocody.
Le propre des grands hommes, c’est d’écouter les autres. Vos réactions ont été nombreuses depuis hier. Toutes vont dans le sens de l’apaisement et de la sauvegarde du Pdci-Rda. Et surtout de l’union à consolider autour du Président Henri Konan Bédié.
L’esprit qui guidait le point de presse que je projetais d’animer demain dimanche, devant l’activisme de celui qui, soit malencontreusement, par manipulation, par petits calculs politiciens et quotidiens, par lucidité( ?), soit par humour, m’appelle « Mon grand frère Denis Kah Zion », avait une seule et unique raison : éviter qu’on écorne, qu’on attaque impunément, l’image de l’homme d’Etat que les Ivoiriens, unanimement, reconnaissent comme le sauveur de la Côte d’Ivoire, après la mort du président Félix Houphouët-Boigny : M. Henri Konan Bédié. Un Chef, de la carrure du président Bédié, on ne le livre pas pieds et mains liés, en pâture, à ses adversaires internes et externes. C’est de tout cela et d’autres que j’aurais voulu éclairer les militants du Pdci-Rda et les Ivoiriens. Mais, comme je l’ai dit, je suis plus soucieux de la stature du président Bédié, de la cohésion et de la bonne marche du parti. Surtout qu’on ne tire pas sur une ambulance. Vous avez parlé à moi et à mes collaborateurs et nous vous avons bien compris. J’annule, par conséquent, le point de presse que j’avais programmé tenir demain dimanche à 15h au siège du "Nouveau Réveil", au nom de notre famille, le Pdci-Rda. Toutefois, mon journal "Le Nouveau Réveil" dont le succès dans le paysage médiatique ivoirien rend jaloux certains membres de notre famille politique, continuera son combat de veille qu’il a entamé depuis 1999. Objectif : un Pdci-Rda fort, débarrassé des taupes, des militants suffisants, arrogants, hypocrites et ingrats endurcis qui n’ont aujourd’hui à la bouche qu’un nouveau et dangereux slogan : «la politique marche avec la trahison».
Denis Kah Zion
Je m’en allais, comme annoncé dans "Le Nouveau Réveil" d’hier, vendredi 17 février 2012, pour la première fois, certainement, prendre mon stylo pour faire des mises au point, suite à la sortie injurieuse du petit Kouadio Konan Bertin dit KKB, le président sortant, voire sorti, de la Jpdci, lors de sa conférence de presse du jeudi 16 février 2012 à la Maison du parti à Cocody.
Le propre des grands hommes, c’est d’écouter les autres. Vos réactions ont été nombreuses depuis hier. Toutes vont dans le sens de l’apaisement et de la sauvegarde du Pdci-Rda. Et surtout de l’union à consolider autour du Président Henri Konan Bédié.
L’esprit qui guidait le point de presse que je projetais d’animer demain dimanche, devant l’activisme de celui qui, soit malencontreusement, par manipulation, par petits calculs politiciens et quotidiens, par lucidité( ?), soit par humour, m’appelle « Mon grand frère Denis Kah Zion », avait une seule et unique raison : éviter qu’on écorne, qu’on attaque impunément, l’image de l’homme d’Etat que les Ivoiriens, unanimement, reconnaissent comme le sauveur de la Côte d’Ivoire, après la mort du président Félix Houphouët-Boigny : M. Henri Konan Bédié. Un Chef, de la carrure du président Bédié, on ne le livre pas pieds et mains liés, en pâture, à ses adversaires internes et externes. C’est de tout cela et d’autres que j’aurais voulu éclairer les militants du Pdci-Rda et les Ivoiriens. Mais, comme je l’ai dit, je suis plus soucieux de la stature du président Bédié, de la cohésion et de la bonne marche du parti. Surtout qu’on ne tire pas sur une ambulance. Vous avez parlé à moi et à mes collaborateurs et nous vous avons bien compris. J’annule, par conséquent, le point de presse que j’avais programmé tenir demain dimanche à 15h au siège du "Nouveau Réveil", au nom de notre famille, le Pdci-Rda. Toutefois, mon journal "Le Nouveau Réveil" dont le succès dans le paysage médiatique ivoirien rend jaloux certains membres de notre famille politique, continuera son combat de veille qu’il a entamé depuis 1999. Objectif : un Pdci-Rda fort, débarrassé des taupes, des militants suffisants, arrogants, hypocrites et ingrats endurcis qui n’ont aujourd’hui à la bouche qu’un nouveau et dangereux slogan : «la politique marche avec la trahison».
Denis Kah Zion