Direction intérimaire du Fpi - délégation de Bert Koenders: une heure et une vingtaine de minutes d’échanges. Les deux entités sorties d’une consultation, hier, au siège du Congrès national pour la résistance et la démocratie (Cnrd) se sont séparées sur une note d’espoir.
Laurent Akoun, secrétaire général intérimaire du Front populaire ivoirien, avait à ses côtés, entre autres ‘’camarades‘’, les ex-ministres Michel Amani N’Guessan, Alphonse Douati, Raymond N’Dori et Sébastien Dano Djédjé. L’ex-parti au pouvoir dit attendre beaucoup des consultations initiées par M. Koenders, chef de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci). « Quel que soit le regard que nous avions par rapport à cette institution, nous sommes-là ; nous reprenons les échanges. Nous espérons que les choses vont avancer. C’est notre conviction… parce que notre ambition, c’est de revenir au pouvoir. Si le pays n’existe pas, nous revenons où ? », a confié à la presse Laurent Akoun. Si son parti est « soucieux de la quiétude du pays », il attend que les nouvelles discussions « ramènent des résultats » qui consolident la paix. D’où l’espoir qu’il met dans les rounds à venir de discussions. « Nous avons partagé quelques réflexions mais nous ne sommes qu’au début.
Souffrez que nous ne puissions pas en dire davantage puisque, d’un commun accord, nous devons poursuivre… », a-t-il affirmé l’optimisme ‘’frontiste‘’. Aussi, le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo a « espoir » de débattre de ses « nombreuses attentes » prochainement. Cette disposition à revenir à la table de négociations est fort appréciée par le représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu. En témoigne, la déclaration qu’a faite Bert Koenders, l’air satisfait. « Nous avons parlé du redémarrage de la vie politique dans le pays. Cela est important pour les Nations Unies de s’assurer qu’il y a un dialogue politique ouvert. C’est pour cela que j’ai parlé avec le Fpi, ce matin », a-t-il affirmé. Le huis clos « était une discussion très fructueuse » visant à « trouver les modalités » de la reprise du dialogue politique. Après cette première discussion, dira-t-il, il faut assurer également « qu’il y a plus de confiance » entre l’opposition et le pouvoir. Koenders qui dit s’en tenir à l’« impartialité » de l’Organisation internationale, va rencontrer aussi les autres partis politiques. Avec seul objectif de rétablir le lien, rompu, entre les ex-gouvernants et le nouveau régime.
Bidi Ignace
Laurent Akoun, secrétaire général intérimaire du Front populaire ivoirien, avait à ses côtés, entre autres ‘’camarades‘’, les ex-ministres Michel Amani N’Guessan, Alphonse Douati, Raymond N’Dori et Sébastien Dano Djédjé. L’ex-parti au pouvoir dit attendre beaucoup des consultations initiées par M. Koenders, chef de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci). « Quel que soit le regard que nous avions par rapport à cette institution, nous sommes-là ; nous reprenons les échanges. Nous espérons que les choses vont avancer. C’est notre conviction… parce que notre ambition, c’est de revenir au pouvoir. Si le pays n’existe pas, nous revenons où ? », a confié à la presse Laurent Akoun. Si son parti est « soucieux de la quiétude du pays », il attend que les nouvelles discussions « ramènent des résultats » qui consolident la paix. D’où l’espoir qu’il met dans les rounds à venir de discussions. « Nous avons partagé quelques réflexions mais nous ne sommes qu’au début.
Souffrez que nous ne puissions pas en dire davantage puisque, d’un commun accord, nous devons poursuivre… », a-t-il affirmé l’optimisme ‘’frontiste‘’. Aussi, le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo a « espoir » de débattre de ses « nombreuses attentes » prochainement. Cette disposition à revenir à la table de négociations est fort appréciée par le représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu. En témoigne, la déclaration qu’a faite Bert Koenders, l’air satisfait. « Nous avons parlé du redémarrage de la vie politique dans le pays. Cela est important pour les Nations Unies de s’assurer qu’il y a un dialogue politique ouvert. C’est pour cela que j’ai parlé avec le Fpi, ce matin », a-t-il affirmé. Le huis clos « était une discussion très fructueuse » visant à « trouver les modalités » de la reprise du dialogue politique. Après cette première discussion, dira-t-il, il faut assurer également « qu’il y a plus de confiance » entre l’opposition et le pouvoir. Koenders qui dit s’en tenir à l’« impartialité » de l’Organisation internationale, va rencontrer aussi les autres partis politiques. Avec seul objectif de rétablir le lien, rompu, entre les ex-gouvernants et le nouveau régime.
Bidi Ignace
