Abidjan - Le ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Albert Flindé s’engage à « développer un système de formation professionnelle et technique (FPT) performant qui offre des compétences à même de contribuer à faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent dans les dix prochaines années ».
Invité des ‘matinales du Gouvernement’ initié par le Centre d’information et de communication gouvernementale (CICG), M. Flindé, tout en précisant que cette vision résulte de celle du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, indique que son opérationnalisation se réalisera à partir d’un système de FPT accessible à tous et qui s’adapte aux besoins de l’économie ivoirienne.
Pour y parvenir, le premier responsable de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle a annoncé une série de réformes en cours ou en vue sur une dizaine d’années, pour « un coût additionnel » de quelque 90 milliards FCFA.
Au dire d’Albert Flindé, le point central de la réforme concerne l’implication du secteur privé dans la gestion du secteur. Le ministre qui a dit son espoir quant à l’importance de son département dans la vie de la Côte d’Ivoire, a en outre fait observer que malgré les difficultés, le pays est considéré comme ayant beaucoup d’expériences et d’opportunités dans le cadre de l’enseignement professionnel en Afrique.
M. Flindé a dit inscrire son action dans le triptyque intégration – employabilité – soutenabilité. Il a fait remarquer que le ministère qui fait partie du secteur éducation – formation, ambitionne de définir désormais la formation à partir de l’offre d’emploi et non l’inverse.
Par ailleurs, concernant les chantiers en cours, le ministre a cité, entre autres, la réouverture des 31 internats fermés en 2002 pour cause d’insécurité; la relocalisation sur leurs sites d’origine des trois établissements délocalisés à Abidjan depuis 2002 (lycées professionnels de Man et d’Odienné et lycée technique de Bouaké) d’ici la rentrée académique prochaine; le démarrage du projet de réhabilitation des 12 établissements par l’Union européenne, et la promotion des formations qualifiantes.
Cette 17ème édition des ‘matinales du Gouvernement’ (la première de la session 2012) portait sur le thème "Quel système d’enseignement technique et de formation professionnelle en Côte d’Ivoire dans la perspective de construction d’un pays émergent à l’horizon 2020 ?". Elle a été l’occasion pour la directrice générale du CICG, Anne Marie Konan Payne de promettre que la communication gouvernementale va permettre de valoriser la formation technique et professionnelle, « un secteur qui forme aussi l’élite, comme tous les secteurs ».
Invité des ‘matinales du Gouvernement’ initié par le Centre d’information et de communication gouvernementale (CICG), M. Flindé, tout en précisant que cette vision résulte de celle du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, indique que son opérationnalisation se réalisera à partir d’un système de FPT accessible à tous et qui s’adapte aux besoins de l’économie ivoirienne.
Pour y parvenir, le premier responsable de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle a annoncé une série de réformes en cours ou en vue sur une dizaine d’années, pour « un coût additionnel » de quelque 90 milliards FCFA.
Au dire d’Albert Flindé, le point central de la réforme concerne l’implication du secteur privé dans la gestion du secteur. Le ministre qui a dit son espoir quant à l’importance de son département dans la vie de la Côte d’Ivoire, a en outre fait observer que malgré les difficultés, le pays est considéré comme ayant beaucoup d’expériences et d’opportunités dans le cadre de l’enseignement professionnel en Afrique.
M. Flindé a dit inscrire son action dans le triptyque intégration – employabilité – soutenabilité. Il a fait remarquer que le ministère qui fait partie du secteur éducation – formation, ambitionne de définir désormais la formation à partir de l’offre d’emploi et non l’inverse.
Par ailleurs, concernant les chantiers en cours, le ministre a cité, entre autres, la réouverture des 31 internats fermés en 2002 pour cause d’insécurité; la relocalisation sur leurs sites d’origine des trois établissements délocalisés à Abidjan depuis 2002 (lycées professionnels de Man et d’Odienné et lycée technique de Bouaké) d’ici la rentrée académique prochaine; le démarrage du projet de réhabilitation des 12 établissements par l’Union européenne, et la promotion des formations qualifiantes.
Cette 17ème édition des ‘matinales du Gouvernement’ (la première de la session 2012) portait sur le thème "Quel système d’enseignement technique et de formation professionnelle en Côte d’Ivoire dans la perspective de construction d’un pays émergent à l’horizon 2020 ?". Elle a été l’occasion pour la directrice générale du CICG, Anne Marie Konan Payne de promettre que la communication gouvernementale va permettre de valoriser la formation technique et professionnelle, « un secteur qui forme aussi l’élite, comme tous les secteurs ».