La Jfpi vient en tout cas, d’engager le combat pour l’ouverture de l’université que le
pouvoir a décidé de fermer sans véritable raison. Le samedi dernier, Koua Justin
qui assure le secrétariat national de cette structure en l’absence de Konaté Navigué
en exil, a rencontré plusieurs associations estudiantines au siège du Cnrd à Cocody.
Objectif, évoquer la question de la fermeture de l’université nationale par le
pouvoir en place. Car cette mesure qui a été annoncée par Ouattara lors de l’une de
ses ballades au Gabon, cause un lourd préjudice à la jeunesse ivoirienne. Etant
donné qu’elle ne se justifie pas. Un pays ne saurait vivre sans éducation. Mais
Ouattara qui semble être en mission pour le compte de Paris, reste indifférent à ce
génocide intellectuel de la jeunesse. D’ailleurs, le pouvoir qui est plus préoccupé à
faire plaisir à la France s’en accommode bien. Il préfère consacrer des milliards
dans la célébration des artifices au Plateau que de se consacrer à l’essentiel. «On a
fermé l’université et puis y a quoi ? Le Rdr est au pouvoir, c’est ce qui est le plus
important», s’est même lâché un cadre de ce parti. Le samedi dernier, la Jfpi a
montré sa détermination à faire sien ce problème qui laisse aussi indifférent, le
pouvoir français. «Je ne peux admettre, précise Koua Justin, de voir de nombreuses
générations d’étudiants bacheliers, des générations d’étudiants en attente de
soutenir, qui leur mémoire, qui leur thèse, être sacrifiés sur l’autel des
incompétences des hommes en charge de l’enseignement supérieur, explique Koua
Justin. La Jfpi va contraindre le régime Ouattara à ouvrir les universités pour
permettre aux enfants des pauvres que nous sommes et qui ne pouvons pas aller
nous former en Europe pour se former ici. Nous devons mettre fin à tous les
spectacles», fait remarquer Koua Justin. C’est ce qu’on appelle avoir de l’ambition
pour son pays.
Guehi Brence
pouvoir a décidé de fermer sans véritable raison. Le samedi dernier, Koua Justin
qui assure le secrétariat national de cette structure en l’absence de Konaté Navigué
en exil, a rencontré plusieurs associations estudiantines au siège du Cnrd à Cocody.
Objectif, évoquer la question de la fermeture de l’université nationale par le
pouvoir en place. Car cette mesure qui a été annoncée par Ouattara lors de l’une de
ses ballades au Gabon, cause un lourd préjudice à la jeunesse ivoirienne. Etant
donné qu’elle ne se justifie pas. Un pays ne saurait vivre sans éducation. Mais
Ouattara qui semble être en mission pour le compte de Paris, reste indifférent à ce
génocide intellectuel de la jeunesse. D’ailleurs, le pouvoir qui est plus préoccupé à
faire plaisir à la France s’en accommode bien. Il préfère consacrer des milliards
dans la célébration des artifices au Plateau que de se consacrer à l’essentiel. «On a
fermé l’université et puis y a quoi ? Le Rdr est au pouvoir, c’est ce qui est le plus
important», s’est même lâché un cadre de ce parti. Le samedi dernier, la Jfpi a
montré sa détermination à faire sien ce problème qui laisse aussi indifférent, le
pouvoir français. «Je ne peux admettre, précise Koua Justin, de voir de nombreuses
générations d’étudiants bacheliers, des générations d’étudiants en attente de
soutenir, qui leur mémoire, qui leur thèse, être sacrifiés sur l’autel des
incompétences des hommes en charge de l’enseignement supérieur, explique Koua
Justin. La Jfpi va contraindre le régime Ouattara à ouvrir les universités pour
permettre aux enfants des pauvres que nous sommes et qui ne pouvons pas aller
nous former en Europe pour se former ici. Nous devons mettre fin à tous les
spectacles», fait remarquer Koua Justin. C’est ce qu’on appelle avoir de l’ambition
pour son pays.
Guehi Brence