La tentative de résurrection de la Fesci (Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire) a avorté au Lycée technique de Cocody le mardi 6 mars 2012. Des émissaires de ce syndicat estudiantin se sont vus refuser l’accès du Lycée par l’administration de l’établissement.
Une dizaine d’émissaires de la Fesci conduits par Horus Manh, dit ‘’Général Empereur’’ a entrepris une série de meetings dits de résurrection de la FESCI au sein du Cbcg et du Lycée technique de Cocody. Si au Cbcg, Horus Manh, étudiant en maîtrise d’Anglais à l’université de Cocody et ses amis ont pu livrer leurs messages, ça n’a pas été le cas au Lycée technique. L’administration de l’établissement a fait appel à des éléments du 8ème arrondissement de Cocody qui sont arrivés sur les lieux longtemps après le départ des Fscistes. «Au terme de 10 ans de conflit en Côte d’Ivoire, il y a eu un changement au niveau du régime. La Fesci a également subi une hémorragie qui a entraîné une paralysie dans son fonctionnement. Nous étions venus dire à nos amis élèves et étudiants qu’il est temps qu’ils prennent conscience des difficultés au sein des écoles ivoiriennes. L’université est fermée, les résidences universitaires sont occupées par des Frci, les travaux de réhabilitation avancent lentement, les bourses ne sont pas payées et on annonce aussi l’augmentation du prix des cartes de bus. Ce sont autant de problèmes auxquels il nous faut trouver des solutions ensemble», a expliqué Horus Manh qui a constaté une réticence chez certains étudiants et des membres de l’administration du Cbcg. «La Fesci n’a pas été dissoute dans l’enseignement supérieur. Nous comprenons qu’il y ait des réticences surtout que les responsables de la FESCI sont traqués, mais nous avons senti que les étudiants ont envie de voir la Fesci. Une Fesci mature et responsable soucieuse des problèmes des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire» a assuré le porte-parole de la délégation. A propos des dirigeants de la Fesci, Horus Manh a fait les précisions suivantes : «Mian Augustin et sa direction sont caducs. Ils n’ont plus les rênes de la Fesci parce qu’ils sont en fin de mandat depuis décembre 2011. Notre objectif aujourd’hui est de lutter véritablement pour les droits des élèves et étudiants sur l’ensemble du territoire ivoirien», a-t-il conclu.
O.D
Une dizaine d’émissaires de la Fesci conduits par Horus Manh, dit ‘’Général Empereur’’ a entrepris une série de meetings dits de résurrection de la FESCI au sein du Cbcg et du Lycée technique de Cocody. Si au Cbcg, Horus Manh, étudiant en maîtrise d’Anglais à l’université de Cocody et ses amis ont pu livrer leurs messages, ça n’a pas été le cas au Lycée technique. L’administration de l’établissement a fait appel à des éléments du 8ème arrondissement de Cocody qui sont arrivés sur les lieux longtemps après le départ des Fscistes. «Au terme de 10 ans de conflit en Côte d’Ivoire, il y a eu un changement au niveau du régime. La Fesci a également subi une hémorragie qui a entraîné une paralysie dans son fonctionnement. Nous étions venus dire à nos amis élèves et étudiants qu’il est temps qu’ils prennent conscience des difficultés au sein des écoles ivoiriennes. L’université est fermée, les résidences universitaires sont occupées par des Frci, les travaux de réhabilitation avancent lentement, les bourses ne sont pas payées et on annonce aussi l’augmentation du prix des cartes de bus. Ce sont autant de problèmes auxquels il nous faut trouver des solutions ensemble», a expliqué Horus Manh qui a constaté une réticence chez certains étudiants et des membres de l’administration du Cbcg. «La Fesci n’a pas été dissoute dans l’enseignement supérieur. Nous comprenons qu’il y ait des réticences surtout que les responsables de la FESCI sont traqués, mais nous avons senti que les étudiants ont envie de voir la Fesci. Une Fesci mature et responsable soucieuse des problèmes des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire» a assuré le porte-parole de la délégation. A propos des dirigeants de la Fesci, Horus Manh a fait les précisions suivantes : «Mian Augustin et sa direction sont caducs. Ils n’ont plus les rênes de la Fesci parce qu’ils sont en fin de mandat depuis décembre 2011. Notre objectif aujourd’hui est de lutter véritablement pour les droits des élèves et étudiants sur l’ensemble du territoire ivoirien», a-t-il conclu.
O.D