Le ministre Gnamien Konan et son parti prêts pour une alternative politique de paix
Le secrétaire général de l’Union pour la Paix (UPCI) Me Soro Ibrahim, avocat à la cour d’Appel d’Abidjan, a prononcé une conférence publique hier à Toumodi à l’occasion de la journée du militant organisée par la délégation départementale dudit parti. Pour Me Soro Ibrahim qui a animé cette conférence sur le thème : « L’UPCI, un parti d’union, de paix et développement au service de la Côte d’Ivoire, » la présence massive des représentants des autres partis autour de l’UPCI ce jour, est le témoignage que son parti veut créer l’union, la paix pour reconstruire une Côte d’Ivoire nouvelle. « L’UPCI n’a pas été créée pour combattre mais pour construire et bâtir une Côte d’Ivoire nouvelle avec toutes ses filles et tous ses fils, » s’était adressé à l’auditoire. Un parti qui, à l’en croire a été crée pour prôner l’union et faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent comme l’envisage le père fondateur Félix Houphouët-Boigny, et son fils Alassane Ouattara, actuel capitaine de ce pays. Selon le conférencier, lorsqu’on aura une Côte d’Ivoire unie, il sera difficile d’instaurer la guerre. Avant d’ajouter que depuis la campagne présidentielle en passant par celle des législatives, l’UPCI ne fait que prêcher l’apaisement et envisager d’offrir une alternative de paix, d’union pour que tous les fils de ce pays puissent travailler la main dans la main. Membre des partis du RHDP après la crise postélectorale, l’UPCI par la voix de son secrétaire général, entend positionner ses cadres aux autres échéances électorales prochaines. Les municipales, les régionaux… Lorsque, affirme le secrétaire général Me Soro Ibrahim, au sein de son parti le doute se fait autour d’un des militants cadres, la direction refuse de lui confier une quelconque responsabilité. C’est pourquoi, annonce-t-il, le président du parti, le ministre Gnamien Konan, veut aller au développement concret car le pays a beaucoup souffert avec ces apprentis politiciens qui ne vivaient que de la théorie.
Jacquelin Mintoh
Le secrétaire général de l’Union pour la Paix (UPCI) Me Soro Ibrahim, avocat à la cour d’Appel d’Abidjan, a prononcé une conférence publique hier à Toumodi à l’occasion de la journée du militant organisée par la délégation départementale dudit parti. Pour Me Soro Ibrahim qui a animé cette conférence sur le thème : « L’UPCI, un parti d’union, de paix et développement au service de la Côte d’Ivoire, » la présence massive des représentants des autres partis autour de l’UPCI ce jour, est le témoignage que son parti veut créer l’union, la paix pour reconstruire une Côte d’Ivoire nouvelle. « L’UPCI n’a pas été créée pour combattre mais pour construire et bâtir une Côte d’Ivoire nouvelle avec toutes ses filles et tous ses fils, » s’était adressé à l’auditoire. Un parti qui, à l’en croire a été crée pour prôner l’union et faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent comme l’envisage le père fondateur Félix Houphouët-Boigny, et son fils Alassane Ouattara, actuel capitaine de ce pays. Selon le conférencier, lorsqu’on aura une Côte d’Ivoire unie, il sera difficile d’instaurer la guerre. Avant d’ajouter que depuis la campagne présidentielle en passant par celle des législatives, l’UPCI ne fait que prêcher l’apaisement et envisager d’offrir une alternative de paix, d’union pour que tous les fils de ce pays puissent travailler la main dans la main. Membre des partis du RHDP après la crise postélectorale, l’UPCI par la voix de son secrétaire général, entend positionner ses cadres aux autres échéances électorales prochaines. Les municipales, les régionaux… Lorsque, affirme le secrétaire général Me Soro Ibrahim, au sein de son parti le doute se fait autour d’un des militants cadres, la direction refuse de lui confier une quelconque responsabilité. C’est pourquoi, annonce-t-il, le président du parti, le ministre Gnamien Konan, veut aller au développement concret car le pays a beaucoup souffert avec ces apprentis politiciens qui ne vivaient que de la théorie.
Jacquelin Mintoh