« Hommage aux femmes combattantes pour la Démocratie ». Pour l’édition 2012 de la Journée Internationale de la Femme (JIF), les Femmes du Front Populaire Ivoirien (FPI), ont décidé de célébrer les femmes combattantes pour la démocratie. Dans cette perspective, elle organise ce 8 mars, en accord avec la direction du Fpi, une cérémonie hommage aux femmes ayant « consacré leur vie à la lutte ». La rencontre se tient aux sièges du CNRD à Cocody en accord avec la direction du Fpi.
Et selon la secrétaire nationale dont la structure est chargée de l’organisation de cette manifestation, il s’agit de « magnifier le combat de toutes les femmes martyrs ». Ce matin donc, l’OFFPI devra se remémorer le parcours extraordinaire de Simone Ehivet Gbagbo, considérée par les femmes du FPI comme « une référence », Broh Grébé Généviève et Christine Adjobi. Outre ces trois dames emprisonnées depuis un an par le régime de Dramane, l’OFFPI a pensé aussi à ses militantes en exil, notamment Anne Gnahoré, Agnès Monnet, Koudou Jeannette…
Mais au-delà de toutes celles-ci, ce sont les femmes rurales, les ménagères les étudiantes, et les femmes de la ville qui sont concernées par la cérémonie. L’Offpi veut rendre hommage à toutes les mères de familles que la guerre a déséquilibrées ; saluer le combat des femmes du vivrier qui, malgré tout, ont conduit la résistance contre la faim dans des circonstances difficiles. Le faisant, la nationale veut demander aux femmes de se lever, de se remobiliser et transcender les traumatismes vécus.
Cette année, pour la journée de la femme, l’onu a choisi de parler de la contribution de la femme rurale dans la lutte contre la pauvreté, alors que le gouvernement de soro parle de la paix dans les esprits. Les femmes du FPI ont-elles opté pour adapter cette célébration à la situation humiliante que les femmes de Côte d’Ivoire ou d’Afrique endurent. C’est pourquoi le programme prévoit, outre les allocutions, des projections, des témoignages des expositions photos pour les grandes femmes, figures de la lutte pour la démocratie.
Koulibaly Doucy
Et selon la secrétaire nationale dont la structure est chargée de l’organisation de cette manifestation, il s’agit de « magnifier le combat de toutes les femmes martyrs ». Ce matin donc, l’OFFPI devra se remémorer le parcours extraordinaire de Simone Ehivet Gbagbo, considérée par les femmes du FPI comme « une référence », Broh Grébé Généviève et Christine Adjobi. Outre ces trois dames emprisonnées depuis un an par le régime de Dramane, l’OFFPI a pensé aussi à ses militantes en exil, notamment Anne Gnahoré, Agnès Monnet, Koudou Jeannette…
Mais au-delà de toutes celles-ci, ce sont les femmes rurales, les ménagères les étudiantes, et les femmes de la ville qui sont concernées par la cérémonie. L’Offpi veut rendre hommage à toutes les mères de familles que la guerre a déséquilibrées ; saluer le combat des femmes du vivrier qui, malgré tout, ont conduit la résistance contre la faim dans des circonstances difficiles. Le faisant, la nationale veut demander aux femmes de se lever, de se remobiliser et transcender les traumatismes vécus.
Cette année, pour la journée de la femme, l’onu a choisi de parler de la contribution de la femme rurale dans la lutte contre la pauvreté, alors que le gouvernement de soro parle de la paix dans les esprits. Les femmes du FPI ont-elles opté pour adapter cette célébration à la situation humiliante que les femmes de Côte d’Ivoire ou d’Afrique endurent. C’est pourquoi le programme prévoit, outre les allocutions, des projections, des témoignages des expositions photos pour les grandes femmes, figures de la lutte pour la démocratie.
Koulibaly Doucy