"La Francophonie est une chance pour les ivoiriens", affirme le préfet d’Agboville

Agboville - La Francophonie doit être vue comme une chance pour la Côte d’Ivoire, a affirmé Bako Digbé Anatole Privat, préfet de région, préfet du département d’Agboville, jeudi à l’ouverture officielle des festivités éclatées de la dixième édition de la journée internationale de la Francophonie à Agboville (85 km d’Abidjan).

Selon le préfet Bako, la Francophonie est une "chance" pour les ivoiriens, car elle permet aux populations d’Agboville et de Côte d’Ivoire "de se retrouver, d’échanger et de communiquer", a-t-il ajouté.

Il a relevé l’importance de la langue française, puisqu’elle est parlée par plus de 900 millions de personnes dans 70 pays à travers le monde.

Bako Privat a demandé à chacun de savoir utiliser la langue française, afin qu’elle demeure un outil de développement. "Mal utilisée, elle peut devenir un outil de destruction", a-t-il averti.
Le préfet de la région de l’Agnéby-Tiassa a exhorté ses administrés à profiter de l’opportunité qu’offre la langue française pour s’exprimer avec les autres. Il a rappelé que ce verbe est majoritairement compris et utilisé de tous, donc il s’agit d’un "avantage".

Bako Privat a exhorté les élèves à continuer d’apprendre correctement la langue française, car il s’agit du premier langage des ivoiriens.

Il a aussi félicité la nouvelle direction régionale de la Culture et de la Francophonie qui a réussi une organisation acceptable, malgré une faible mobilisation.
"Je vous félicite pour votre dévouement, car il s’agit d’un bon signe pour la prochaine édition", a dit l’administrateur.

(AIP)
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