Le Réseau paix et sécurité des femmes de l’espace CEDEAO (REPSFECO) a initié, depuis le jeudi 22 mars 2012, à l’hôtel Belle Côte à Cocody-Angré, un atelier pour réfléchir sur l’implication effective des femmes pour la paix et la sécurité. Mme Salimata Porquet Sanogho, présidente régionale du REPSFECO a saisi l’occasion pour se prononcer sur le coup d’Etat au Mali.
«Nous allons prendre les femmes médiatrices de la CEDEAO et nous rendre au Mali pour rencontrer nos sœurs de ce pays pour contribuer à la réconciliation dans ce pays. Nous voulons appuyer le Président Alassane Ouattara, président en exercice de la CEDEAO, qui a une mission difficile. Parce que plusieurs Etats de la sous-région connaissent des crises.
Nous allons intervenir au Mali pour que les gens comprennent que lorsqu’il y a un problème, il faut aller au dialogue. S’il y a une crise, il faut que les gouvernants, les militaires, les fonctionnaires, avec les femmes, se mettent autour de la table des négociations», a déclaré Mme Salimata Porquet Sanogho. La présidente régionale du REPSFECO, s’appuyant sur la résolution 1325 des Nations Unies (qui invite les Etats à accroître la représentativité des femmes dans les instances décisionnelles), a souhaité qu’une loi soit prise à l’Assemblée nationale ivoirienne pour l’intégration effective de la femme dans la prévention et dans la gestion des conflits. Représentant le ministre de l’Intégration Africaine, Adama Bictogo, la première vice-présidente du parlement de la Côte d’Ivoire, Mme Sako Sarah Fadiga, tout en saluant l’initiative du REPSFECO, a rassuré que son pays entend avec l’appui des femmes contribuer au renforcement de la paix et de la sécurité dans la sous-région. «Nul n’est censé ignorer le rôle de la femme pour la paix, la sécurité et le développement», a soutenu Mme Sako Sarah Fadiga. ‘’Contribution à l’amélioratin de l’implication des femmes dans l’architecture de paix et de sécurité dans l’espace CEDEAO pour un développement durable’’, c’est autour de ce thème que se déroule cet atélier qui s’achève ce vendredi 23 mars 2012. Cette rencontre a enregistré la présence des représentants du Sénégal, de la Gambie, du Libéria, de la Sierra Léone, du Mali, du Burkina Faso, de la Guinée Conakry, du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau. Le REPSFECO a été créé en juillet 2009 et a des sections implantées dans 15 pays membres de la CEDEAO.
R. Dibi
«Nous allons prendre les femmes médiatrices de la CEDEAO et nous rendre au Mali pour rencontrer nos sœurs de ce pays pour contribuer à la réconciliation dans ce pays. Nous voulons appuyer le Président Alassane Ouattara, président en exercice de la CEDEAO, qui a une mission difficile. Parce que plusieurs Etats de la sous-région connaissent des crises.
Nous allons intervenir au Mali pour que les gens comprennent que lorsqu’il y a un problème, il faut aller au dialogue. S’il y a une crise, il faut que les gouvernants, les militaires, les fonctionnaires, avec les femmes, se mettent autour de la table des négociations», a déclaré Mme Salimata Porquet Sanogho. La présidente régionale du REPSFECO, s’appuyant sur la résolution 1325 des Nations Unies (qui invite les Etats à accroître la représentativité des femmes dans les instances décisionnelles), a souhaité qu’une loi soit prise à l’Assemblée nationale ivoirienne pour l’intégration effective de la femme dans la prévention et dans la gestion des conflits. Représentant le ministre de l’Intégration Africaine, Adama Bictogo, la première vice-présidente du parlement de la Côte d’Ivoire, Mme Sako Sarah Fadiga, tout en saluant l’initiative du REPSFECO, a rassuré que son pays entend avec l’appui des femmes contribuer au renforcement de la paix et de la sécurité dans la sous-région. «Nul n’est censé ignorer le rôle de la femme pour la paix, la sécurité et le développement», a soutenu Mme Sako Sarah Fadiga. ‘’Contribution à l’amélioratin de l’implication des femmes dans l’architecture de paix et de sécurité dans l’espace CEDEAO pour un développement durable’’, c’est autour de ce thème que se déroule cet atélier qui s’achève ce vendredi 23 mars 2012. Cette rencontre a enregistré la présence des représentants du Sénégal, de la Gambie, du Libéria, de la Sierra Léone, du Mali, du Burkina Faso, de la Guinée Conakry, du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau. Le REPSFECO a été créé en juillet 2009 et a des sections implantées dans 15 pays membres de la CEDEAO.
R. Dibi
