Une scène digne d’un film western s’est produite samedi sur l’axe Bangolo-Duékou. Selon les informations recueillies sur place, il était environ 17 heures quand l’adjudant Kambiré Koumbou, chef de la brigade de gendarmerie a envoyé trois de ses agents en patrouille de routine vers le village de Guinglo situé à 2 km sur l’axe menant à Duékoué. Les gendarmes en mission entendent des déflagrations d’armes de guerre. Le Mdl Kaya Bi et ses collègues portent immédiatement l’information à la hiérarchie. Après s’être assuré que ses hommes sont armés de kalachnikovs, le commandant de brigade intime l’ordre à ses agents d’aller « voir clair ».
A 1 km de Guinglo, les gendarmes sont accueillis par des tirs venant de la broussaille. Ils se rendent compte qu’ils sont tombés dans une embuscade tendue par les sentinelles des coupeurs de route qui s’attelaient à dépouiller des passagers d’un minicar. Malgré la férocité des tirs, les soldats arrivent à se soustraire de cette sale situation et battent en retraite. Ils sont rejoints par les Frci qui leur prêtent main forte. Les forces de l’ordre assiègent la broussaille occupée par les braqueurs qui ne démordent pas pour autant. Le combat ainsi engagé dure environ 1h au bout de laquelle les bandits vont se fondre dans la nature. Après le départ des bandits, les forces de l’ordre découvrent 4 blessés, des passagers du minicar. Une femme atteinte d’une balle à la tempe, et une autre à la cuisse. Un jeune homme été atteint d’une balle à la tête quand un autre voyait sa main transpercée par une balle.
Gbaka Timothée, Correspondant Régional
A 1 km de Guinglo, les gendarmes sont accueillis par des tirs venant de la broussaille. Ils se rendent compte qu’ils sont tombés dans une embuscade tendue par les sentinelles des coupeurs de route qui s’attelaient à dépouiller des passagers d’un minicar. Malgré la férocité des tirs, les soldats arrivent à se soustraire de cette sale situation et battent en retraite. Ils sont rejoints par les Frci qui leur prêtent main forte. Les forces de l’ordre assiègent la broussaille occupée par les braqueurs qui ne démordent pas pour autant. Le combat ainsi engagé dure environ 1h au bout de laquelle les bandits vont se fondre dans la nature. Après le départ des bandits, les forces de l’ordre découvrent 4 blessés, des passagers du minicar. Une femme atteinte d’une balle à la tempe, et une autre à la cuisse. Un jeune homme été atteint d’une balle à la tête quand un autre voyait sa main transpercée par une balle.
Gbaka Timothée, Correspondant Régional