Pendant les quatre mois qu’a duré le blocus, Mme Essoubo Augustine, membre du protocole du président Bédié, a marqué tous les esprits. Elle avait en permanence sur elle des friandises qu’elle partageait à tout le monde. Ministres, députés, militaires et tous les reclus du Golf ont goûté aux bonbons de Mme Essoubo. Elle avait une curieuse manière de demander le choix de chacun qui arrachait des sourires aux plus vicieux : « Tu veux sucer ou tu veux laper ? », juste pour demander si l’intéressé voulait un bonbon sucette ou un bonbon simple.
Le plongeur nu de la piscine
Des histoires aussi hilarantes les unes que les autres ont rythmé la vie des ‘‘golfeurs’’. Il y a celle d’un plongeur qui s’est retrouvé nu dans la piscine. Après le premier mois du blocus, le président a demandé à la direction de l’hôtel d’ouvrir la piscine pour permettre aux uns et aux autres de se détendre. Un golfeur dont nous taisons le nom, qui ne savait certainement pas nager, s’est retrouvé en tenue d’Adam dans la piscine. Après son plongeon, l’homme a été abandonné par son slip qui flottait sur l’eau. Devant la foule de baigneurs, l’infortuné n’a eu d’autre choix que de cacher ses attributs avec ses mains et se dissimuler derrière un mur pour remettre son slip.
Le règne des ‘‘tueurs de cabri’’
La première semaine du blocus a été durement ressentie par certains golfeurs, particulièrement les journalistes. S’étant retrouvés dans cet hôtel sans s’y préparer, les hommes des médias n’avaient rien pour leur hygiène corporelle et bucco-dentaire. Ils ont pratiquement passé la première semaine sans se laver ni se brosser les dents. Quelques jours après le 16 décembre, les haleines étaient devenues insupportables au point que l’on évitait de parler avec quelqu`un en face pour ne pas l’indisposer. C’est Eric Taba, chef du protocole du président Ouattara, qui était venu à la rescousse des journalistes en leur trouvant des brosses à dents et des pates dentifrices.
Le pont aérien de l’Onuci
L’Onuci a joué un rôle de premier plan dans la survie des pensionnaires du Golf. Quand les partisans de Laurent Gbagbo ont barré toutes les voies daccès au Golf hôtel, c’est par les airs que le ravitaillement se faisait. Ce qui a fait que rien ne manquait dans les entrepôts de l’hôtel. La même méthode était appliquée pour ceux qui voulaient sortir ou entrer au Golf. Des plans de vol permettaient de contourner les jeunes patriotes qui prenaient pour ennemis tous ceux qui voulaient sortir ou se rendre au Golf.
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Le plongeur nu de la piscine
Des histoires aussi hilarantes les unes que les autres ont rythmé la vie des ‘‘golfeurs’’. Il y a celle d’un plongeur qui s’est retrouvé nu dans la piscine. Après le premier mois du blocus, le président a demandé à la direction de l’hôtel d’ouvrir la piscine pour permettre aux uns et aux autres de se détendre. Un golfeur dont nous taisons le nom, qui ne savait certainement pas nager, s’est retrouvé en tenue d’Adam dans la piscine. Après son plongeon, l’homme a été abandonné par son slip qui flottait sur l’eau. Devant la foule de baigneurs, l’infortuné n’a eu d’autre choix que de cacher ses attributs avec ses mains et se dissimuler derrière un mur pour remettre son slip.
Le règne des ‘‘tueurs de cabri’’
La première semaine du blocus a été durement ressentie par certains golfeurs, particulièrement les journalistes. S’étant retrouvés dans cet hôtel sans s’y préparer, les hommes des médias n’avaient rien pour leur hygiène corporelle et bucco-dentaire. Ils ont pratiquement passé la première semaine sans se laver ni se brosser les dents. Quelques jours après le 16 décembre, les haleines étaient devenues insupportables au point que l’on évitait de parler avec quelqu`un en face pour ne pas l’indisposer. C’est Eric Taba, chef du protocole du président Ouattara, qui était venu à la rescousse des journalistes en leur trouvant des brosses à dents et des pates dentifrices.
Le pont aérien de l’Onuci
L’Onuci a joué un rôle de premier plan dans la survie des pensionnaires du Golf. Quand les partisans de Laurent Gbagbo ont barré toutes les voies daccès au Golf hôtel, c’est par les airs que le ravitaillement se faisait. Ce qui a fait que rien ne manquait dans les entrepôts de l’hôtel. La même méthode était appliquée pour ceux qui voulaient sortir ou entrer au Golf. Des plans de vol permettaient de contourner les jeunes patriotes qui prenaient pour ennemis tous ceux qui voulaient sortir ou se rendre au Golf.
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